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L'enfance est-elle le lieu du bonheur ?

Publié le 30/01/2022

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« Colle sur l’enfance Dans notre monde actuel, tout est hiérarchisé mais tous les maîtres ont été apprentie un jour ou l’autre et il est donc censé de se demandé qu’est ce qui distingue l’apprentie du maître, quel processus est responsable de ce changement (éducation de la nature, des hommes, des choses?) et à quel point l’enfant sur lequel se construit cette homme à un rôle clé.

Arthur Schopenhauer philosophe allemand du XIXème siècle dans cette citation nous évoque l’enfance et sa futilité.

Je cite "L'enfance est le temps de l'innocence et du bonheur, le paradis de la vie, l'Eden perdu, vers lequel, durant tout le reste de notre vie, nous tournons les yeux avec regret.

Ce qui fait ce bonheur, c'est que pendant l'enfance notre existence entière réside bien plus dans le connaître que dans le vouloir". L’auteur fait un parallèle entre l’enfance et le jardin d’Eden ou adams et Eve ont été châtiés car dans les deux cas les il est maintenant impossible de faire marche arrière.

Donc cette enfance pleine de bonheurs et d’innocence ne peut être que nostalgie.

Schopenhauer pense que le bonheur de l’enfance passe principalement par le connaître et non le vouloir.

L’enfance est-t-elle vraiment le temps du bonheur où est ce une construction mentale de notre imaginaire.

L’innocence et son influence sur notre vision du monde créaient-il un bonheur artificiel(qui le serait au yeux d’un adulte).

Qu’est ce qui nous empêche de vivre dans le connaître plutôt que dans le vouloir si c’est la clef du bonheur . Pour ce faire je vais citer trois œuvres : Émile ou De l'éducation est un traité d'éducation portant sur « l'art de former les hommes » de Jean-Jacques Rousseau paru en 1762.

Ensuite il y a les compte d’Andersen qui sont constitués de récits fantastiques pour enfants publiés au XIXèmes siècle.

Et enfin Aké les années d’enfance de Wole Soyinka sortie en 1981 une autobiographie sur ses 11 premières années en Afrique. 1)La Princesse au petit pois d’Andersen permet de remettre en perspective une lecture d’un point de vue innocent et une autre relecture plus approfondie.

Lorsque j’étais petit je ne voyais qu’un simple compte mais après une relecture je peux y voir une Princesse qui malgré son envie de dormir ne peut parvenir à ses fins à cause d’un simple petit poids.

Et si l’auteur n’affirmait-il pas que notre statut social est défini bien malgré nous.

Cette histoire aurait une morale bien plus pessimiste qu’avant lorsque j’étais jeune et innocent.

L’on constate donc que l’innocence modifie notre vision du monde. Avec Rousseau on part de l’innocence originelle, l’auteur dit que sans corruption on serait tous innocent.

Mais le monde est empli de corruption donc voir le monde de façon innocente ne signifie pas le voir de sa juste façon, une fois adulte on ne peut plus regarder le monde innocents et donc on n’est plus capable de trouver du bonheur là où l’enfant peut. 2) Qu’est ce qui empêche les adultes de vivre dans le connaître plutôt que dans le vouloir Rousseau dans le livre 1 de Émile ou De l'éducation dit « Dans le commencement de la vie, où la mémoire et l’imagination sont encore inactives, l’enfant n’est attentif qu’à ce qui affecte actuellement ses sens.

» donc tout commence avec du vouloir mais l’enfant ne veut alors que vivre ou survivre, passer cette étape grâce à ses parents, l’enfant ne veut rien ne sachant rien.

Naît alors en lui curiosité et plus cette curiosité de sera assouvie moins elle sera grande et le vouloir naitreras de ces connaissances. C’est donc cette méconnaissance qui nous permet découvrir le monde et nous comble de bonheurs. On retrouve cette idée de vouloir/envie chez Andersen dans La petite sirène « C’est justement parce qu’elle ne pouvait pas y aller que tout cela lui faisait plus envie » maintenant qu’elle connaît elle est dans le vouloir.

Et elle en devient malheureuse de ne pas pouvoir y aller.

Donc ce qui fait que nous ne pouvons pas vivre dans l’apprentissage/connaissance, c’est que l’on connaît déjà et que maintenant on veut.

Il n’y a que durant notre enfance ou l’on peut être dans ce connaître/découverte en abondance qui nous apporte joie et bonheur. L’enfance est-elle donc le temps du bonheur ? Oui et non, il y a des formes de bonheurs que l’on peut avoir seulement durant notre enfance des choses/découvertes uniques.

D’autant plus que l’innocence de l’enfant permet de trouver du bonheur là où l’on ne le verrait pas aujourd’hui loin de notre innocence de jeunesse.

Donc lorsque Arthur Schopenhauer dit que l’enfance est un jardin d’Eden cela fait vraiment sens car certaine forme de bonheur ne trouve son pareil que dans l’enfance.. »

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