Lehar Franz
Publié le 18/05/2020
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LEHAR Franz. Musicien autrichien. Né à Komàron, en Slovaquie (district de Bratislava), le 30 avril 1870, mort à Bad Ischl, le 24 octobre 1948. Après avoir terminé ses études musicales au Conservatoire de Prague, il débuta dans la carrière théâtrale par deux opéras, Rodrigo et Tatjana, représentés respectivement en 1893 et 1896. Mais de telles œuvres ne devaient pas connaître le succès, et Lehar n’allait d’ailleurs pas continuer dans cette voie. Se sentant plus doué pour traiter des formes plus légères, il se tourna vers l’opérette. Ce genre avait acquis en Allemagne une physionomie bien particulière et se distinguait de l’opérette française : expression d’un monde agréablement frivole, d’une sensualité facile et vague, l’opérette allemande était liée à la danse qui, dans le climat viennois de Lanner et de Johann Strauss, s’était enrichie de formes brillantes et séduisantes. C’est précisément à Vienne que presque toutes les opérettes de Franz Lehar furent données pour la première fois. Celles qui connurent le plus grand succès sont : La Veuve joyeuse (1905), Le Comte de Luxembourg [Der Graf von Luxemburg, 1909], Eva (1911), Paganini (1928).
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Lehár Franz
Compositeur autrichien
* 30.4.1879, Komárom, Hongrie
+ 24.10.1948, Bad Ischl
Violoniste de formation, Lehár est pendant douze ans chef
d'orchestre militaire à Trieste, Budapest et Vienne avant de
se consacrer à la composition d'opérettes.
Il devient alors le
principal représentant de la musique de divertissement en
Autriche.
Avec Emmerich Kálmán (*1882, +1953), il est
considéré comme le créateur de la nouvelle opérette viennoise.
Sa musique allie la valse viennoise aux éléments du folklore
slave.
Son premier grand succès, "La Veuve joyeuse" (1905)
reste l'opérette la plus jouée.
Les dernières compositions de
Lehár tendent vers l'opéra comique et la comédie musicale.
Parmi ses oeuvres principales, citons : "Le Comte de
Luxembourg" (1909), "Paganini" (1925),"Le Tsarévitch" (1927)
"Le pays du sourire (1929).
Les airs de Lehár sont désormais
de grands classiques.
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