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Lecture linéaire : le Prenom

Publié le 04/04/2024

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« Lecture linéaire n°12 : Le prenom Installation du quiproquo : l.1 - 14 ou 15 Dispute : l.14 Révélation de la blague : l.51 - 63 Prblm : comment ce quiproquo fait-il ressortir les tensions familiales. Intro : - Il faut rappeler le vrai prénom : Henri ( référence au père de Vincent et Elisabeth) et le prénom annoncé : Adolf. - Claude est au courant que c’est une blague. - La définition du quiproquo : malentendu ou l’on prend qql pour une autre. I. Installation du quiproquo Didascalie : arrivée tardive d’Anna → quiproquo. “Vous êtes deux maintenant” qui va fonctionner avec “pas n’importe qui “ ⇒ cela va engendrer la dispute.

C’est Pierre qui relance la dispute qui s'était un peu apaisée. Didascalie :”gêne, malaise” ⇒ gêne qui s’installe. Elisabeth intervient “pierre stp ne recommence pas” ⇒ elle se caractérise par celle qui essaye d'empêcher le sujet de revenir. Anna “perçoit le malaise” mais ne le comprend pas “qu’est ce qui se passe ?” → question légitime mais rend impossible l'évitement du sujet; sans le vouloir elle va participer à lancer la dispute. “moyennement apprécié “ → euphémisme, car ils ont détesté. “le prénom de notre fils” → périphrase : prcq on voit qu’il veut a tout pris faire durer la blague. “pcq que tu leur a dit “ → étonnement, pas prévu d’annoncer le prenom. “il était trop fière “ → image de Vincent a yeux de pierre qui est pédenay, orgueilleux, Pierre est méprisant. l'exclamation → sarcastique. “Ça ne vous a pas plu” → décalage entre l'innocence de Anna pas au courant et les autres. “Non anna, ca ne leur a pas plu” → ne dit pas la vérité, il continue d’alimenter la dispute. ⇒ comique de situation, de mots. Didascalie : “voyant le visage attristé d’Anna , essaye d’intervenir “ → il est coincé. Anna = victime du quiproquo “attristé”. Calude en voulant faire une litote “ca nous a plus surpris que déplu” → alimente sans le vouloir la dispute.

Il atténue. Elisabeth rebondit sur la parole de Claude, cherche autant que possible d'empêcher la dispute d’éclater. ⇒ ce sont les deux seuls qui essayent d'atténuer la dispute qui arrive. Réplique du Pierre : il n’est pas dans le politiquement correct, il ne prend pas sur lui, avec sa franchise il boussole les efforts des autres. “Pas moi” → phrase averbale = rupture. Pierre est franc et ne ment pas comme les autres. “On pensait que la référence vous plairait” → quiproquo , ici la référence est Hitler. II. Dispute Comique de mots et de situations et de répétitions. Didascalie : pierre s'étouffe → il est ébermier par ce qu’il entend. Echo : réplique de Pierre. → Référence ici n’est jamais évoqué. ⇒3 reprise en écho de “référence” est des adv Réplique de Claude : donne un indice, donne la solution mais personne ne fait attention et ne comprend sa phrase. Modalisateurs : “je crois”.... »

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