Le théâtre après 1918

« Le théâtre après 1918 Une révolu�BSQ scénique se prépare.

Mais elle réside moins dans la concep�CSQ li�éraire des œuvres que dans l'évolu�CSQ du s�fH6 �Atnral.

Pour Jacques Copeau (1879-1949), la scène n'es� plus un lieu où l'on réci�6 un �6ee.

« Le met�6`X en scène, écri� CH}BQa6Qe e� fai� régner en�X6 les personnages ce lien secre� e� visible, ce�]6 sensibili�r}Xr/DTXSW`6 ce�e mys�r­ rieuse correspondance des rappor�Z fau�6 de quoi le drame, même in�6XTXré par d'excellents acteurs, perd le meilleur de son expression.» Sous l'influence de pres�B@B6`e met�6`XZ en scène é�X-Q@6XZ Lugné-Poe, Gas�SQ Baty ou Charles Dullin élaboren� une nouvelle technique du jeu, du décor, des éclairages, de la musique, qui permettra aux dramaturges fu�`XZ de �XS`a6X les meilleures conditions de représenta­ tion de leurs œuvres.

Paris découvre le réper�SBX6 é�X-Q@6X le Flamand Crommelynck, les Scandinaves Ibsen et Strindberg, !'Allemand Ber�SK Brecht, l'irlandais Bernard Shaw.

Un couple d'ac�6`XZ d'origine russe, Georges e� Ludmilla Pi�Sy: favorisen� la diffusion des adap�-]DSQZ de Dostoïe­ vski, Tols�Sz Gogol ou Tchekhov.

On renonce main�6Q-Q à la représenta�BSQ fidèle e� logique de la réalité pour mieux montrer, par la disloca�CSQ de l'action dramatique, le tréfonds des âmes.

C'es� la révéla�CSQ qu'apporte Luigi Pirandello avec Chacun sa vérité ( 1917) et Henri IV ( 1922).

Antonin Artaud se fait le théoricien d'un théâtre nouveau.. »