Databac

Le partage de la valeur ajoutée

Publié le 23/08/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Le partage de la valeur ajoutée. Ce document contient 858 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Economie.


« 1 / 2 ■ Le partage de la valeur ajoutée ► Selon David Ricardo, « déterminer les lois qui règlent la répartition est le principal problème en économie politique».

Mais pourquoi la question de la répartition de la valeur ajoutée est-elle si importante? 1.

La répartition de la valeur ajoutée A.

La part salariale est prépondérante La rémunération des salariés, salaires bruts et charges sociales patro­ nales, représente près de 60 % de la valeur ajoutée.

Il s'agit d'une part moyenne, à préciser selon les entreprises et les secteurs d'activité économique. B.

La part des entreprises est essentielle Le solde du compte d'exploitation, Excédent brut d'exploitation (EBE), rapporté à la VA, constitue le taux de marge qui est un bon indicateur de la rentabilité économique des entreprises. Il a beaucoup fluctué dans les trois dernières décennies, évidemment en sens inverse de la part des salaires dans la VA Il.

La croissance est indépendante de la répartition • C'est la position des néoclassiques.

La valeur ajoutée est intégra­ lement distribuée au capital et au travail.

Les quantités de facteurs employées dépendent de leur prix relatif : - si le salaire réel augmente, les entreprises substituent du capital au travail, quand il baisse, elles embauchent.

- le stock de capital dépend des investissements antérieurs et le stock de travail de la population. • Il faut que le salaire réel, d'une part, le taux d'intérêt réel, de l'autre, soient flexibles, à la hausse comme à la baisse.

Chaque facteur est rémunéré à sa productivité marginale.

Pour que la croissance soit équilibrée, il faut et il suffit, selon le modèle de Solow, que le taux de croissance de l'économie soit égal au taux de croissance démographique, lui-même égal au taux d'investissement. 2 / 2. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles