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Le Ménon (extrait)96 a-cPlatonSocrate : (...)Jamais d'un père honnête le fils ne deviendrait méchant,S'il était docile aux sages conseils ; mais avec des leçonsTu ne feras jamais d'un méchant un honnête homme.

Publié le 22/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Le Ménon (extrait)96 a-cPlatonSocrate : (...)Jamais d'un père honnête le fils ne deviendrait méchant,S'il était docile aux sages conseils ; mais avec des leçonsTu ne feras jamais d'un méchant un honnête homme. Ce document contient 245 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

« Le Ménon (extrait) Platon 96 a-c Socrate : (…) Jamais d’un père honnête le fils ne deviendrait méchant, S’il était docile aux sages conseils ; mais avec des leçons Tu ne feras jamais d’un méchant un honnête homme. Vois-tu comme il se contredit sur un même sujet ? Ménon : Cela paraît évident. Socrate : Est-il aucune autre chose à propos de laquelle on puisse dire comme de celle-ci que ceux qui s’en prétendent les maîtres sont tenus non seulement pour incapables de l’enseigner à autrui, mais encore pour ne pas en avoir eux-mêmes la science et pour être mauvais précisément en ce qu’ils déclarent enseigner, tandis que ceux qu’on tient pour être personnellement d’honnêtes gens tantôt affirment et tantôt nient qu’on puisse l’enseigner ? Oserais-tu, à propos de quoi que ce soit, traiter proprement de maîtres des hommes aussi flottants ? Ménon : Bien sûr que non. Socrate : Mais alors, si ni les sophistes ni les honnêtes gens ne peuvent enseigner cette chose, n’est-il pas évident que personne ne le pourra ? Ménon : J’en ai peur. Socrate : Et, sans maîtres, point de disciples ? Ménon : Je crois que tu as raison. Socrate : Une chose qui n’a ni maîtres ni disciples n’est-elle pas, de notre propre aveu, une chose qui ne peut s’enseigner ? Ménon : Nous l’avons reconnu. Socrate : Or la vertu, semble-t-il, n’a pas de maîtres ? Ménon : Non. Socrate : Ni par conséquent de disciples ? Ménon : Sans doute. Socrate : La vertu, à ce compte, ne s’enseignera donc pas.. »

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