Le malade imaginaire: éloge de Monsieur Diafoirus

« Le malade imaginaire est une œuvre, crée en 1673 par Molière.

Molière est un dramaturge Français qui critique souvent la société.

La pièce étudiée présente Argan, un hypocondriaque égoïste, qui sacrifie sa fille en la mariant de force pour sa santé.

Le passage étudié est un extrait de l’acte II de la scène 5.

Dans celui-ci Monsieur Diafoirus présente son fils, qui doit marier la fille d’Argan, sous forme d’éloge.

Sachant le penchant de Molière pour la critique et la satire nous pouvons nous interroger sur cet éloge, en quoi celui-ci sert-il les intentions satiriques de ce dernier ? L’éloge ce découpe en 3 parties.

La première va de la première à la onzième ligne, elle présente l’enfance de Thomas.

La deuxième va de la onzième à la dix-huitième ligne, elle présente ses études.

La troisième partie, qui va de la dix-huitième à la dernière ligne le présente actuellement. La première partie présentant sa jeunesse en dit beaucoup sur sa personnalité et sur lui en général.

On voit dans un premier temps que son père est content de lui ce qui prouve qu’il est comme lui, un médecin qui suit les règles de l’époque : L.1 « j’ai sujet d’être content de lui ».

On à un première point de vue de son père puis un point de vue extérieur.

Les gens le trouvent agréable : L.2 « qui n’a point de méchanceté ».

Par ma suite Monsieur Diafoirus va exprimer tout ce dont son fils n’est pas doté avec un vocabulaire très négatif : L.2 « n’a », L.3 « ni », L.5 « n’a », L.6 « ne », Le père commence par dire que son fils n’est point doté d’imagination et d’esprit vif mais rebondit très vite en disant qu’il sera doté d’un esprit critique ce qui l’arrange car d’après lui c’est une : L.4 « qualité requise pour l’exercice de notre art ».

Cette remarque montre bien que Thomas est sous l’emprise de son père car il se fiche de son manque d’esprit vif, il veut seulement que son fils soit apte à reprendre le métier de médecin.

Par la suite la présentation du jeune médecin continue.

Il est présenté comme limite flapi, ceci montre encore une fois que Thomas est comme une feuille blanche sur laquelle son père peut graver ce qu’il veut.

Ex : L.5 : « il n’a jamais été ce qu’on appelle mièvre et éveillé ».

L’éloge continue et cette fois Thomas est présenté tel un idiot, en effet il à connut de grandes difficultés face à l’apprentissage de la lecture, chose bien sur que son père dit sans gène.

Ex:L.7 : « On a eu toutes les peines […] à lui apprendre à lire » Sur ces faits le père revient à la charge sur sa possession envers son fils, il est ravi que les choses qu’il va réussir à lui graver resteront longtemps ex : L.10 « les choses y sont conservées bien plus longtemps »,. »