Le Malade imaginaire, Acte 3 scène 3

« Le théâtre du 17ème au 21ème siècle Acte 3 scène 3 Le Malade imaginaire Version exhaustive  INTRODUCTION : Le 17ème siècle, est le siècle du théâtre classique, et surtout celui de la comédie.

Jean Baptiste Poquelin, dit Molière est l’un des plus grands dramaturges français.

Il est connu pour ses comédies de mœurs qui dénoncent les vices et les travers humain.

Son œuvre théâtrale dénonce l’excès des passions et les risques qu’elles infligent à la famille et à la société.

Avec le musicien Lully, il crée le genre de la comédie ballet dont fait partie Le Malade Imaginaire : ce nouveau genre offre un spectacle total qui mêle comédies, chant et danse. Le malade imaginaire, connu un succès immédiat à Paris, dès sa création en 1673.

Sa représentation était alors qualifié de somptueuses. Cette pièce de théâtre, est une comédie ballet en 3 actes, écrite en proses.

Cette comédie, met en scène un hypocondriaque et tyrannique père de famille qui veut forcer sa fille à se marier à un médecin charlatan, ce qui soulève la colère et la résistance de sa famille. Le passage étudié est un extrait de la fin de la scène 3, de l’acte 3 dans lequel Béralde entend raisonner son frère afin qu’il abandonne le projet de mariage et qu’il arrête de donner sa confiance aux médecins. Ainsi, nous pouvons donc nous demander comment cette scène illustret-elle le comique de caractère ? Pour étudier cet extrait, nous suivrons les mouvements du texte chronologiquement, qui retrace tout d’abord des lignes 1 à 9, la mise en abyme de Molière, puis, des lignes 10 à 22, la colère d’Argan et pour finir, des lignes 23 à 27, la tentative du sauvetage du mariage d’Angélique par Argan. Le théâtre du 17ème au 21ème siècle Acte 3 scène 3  EXPLICATION : Mouvement 1 : la situation initiale L’annonce «!mon frère!» de Béralde à Argan, témoigne de la proximité de leur lien, ce qui annonce un dialogue sincère et profond. Mouvement 1 : la mise en abyme de Molière : « Ouais » : interjection qui montre l’agacement d’Argan.

« Vous êtes un grand docteur » s’adresse à Béralde avec ironie.

« Je voudrais bien… » qui montre qu’Argan manque d’arguments, qu’il ne sait pas se défendre Le théâtre du 17ème au 21ème siècle Acte 3 scène 3 et son incapacité à raisonner.

« Pour rembarrer… » C.C.

BUT qui témoigne de ce qu’Argan aimerait pouvoir faire. Béralde utilise « mon frère » pour parler d’Argan, ce qui est affectueux, et montre sa bienveillance, il a pour objectif de soigner son frère par la parole et la réflexion.

« Je ne prends point…médecine », ici Béralde ce dégage du conflit.

« Chacun à ses… lui plait » Molière prône la tolérance sous forme de maxime + présent de vérité général qui donne du poids à l’affirmation.

« J’aurais souhaité » conditionnel passer qui montre qu’il n’a pas réussi.

« Pour vous divertir… de Molière » lui propose d’aller voir les comédies de Molières, donc mise en abyme, ce qui rend ce passage comique et montre les talents de dramaturges de Molières, avec des pièces intellectuel, qui ouvre à la réflexion. « C’est un bon…Molière » l’évocation de Molière le met tout de suite en colère.

« Honnête gens », présente.... »