Databac

Le Gland et la citrouille - La Fontaine (Fiche de révision - Bac Français)

Publié le 15/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Le Gland et la citrouille - La Fontaine (Fiche de révision - Bac Français) Ce document contient 1836 mots soit 4 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Fiche de révision.

« Le Gland et la citrouille - La Fontaine (Fiche de révision - Bac Français) Introduction : Ce texte est une fable de La Fontaine écrite au XVIIème siècle.

Les fables de La Fontaine renvoient à un théâtre populaire où le sujet est proche de la nature.

Cette fable traite d'un problème grave, sur un ton léger.

Ils'agit d'une réflexion philosophique allégorique sur la place de L'Homme dans l'Univers. Quelle est la place de l'Homme dans l'Univers ? Est-ce que des questions métaphysiques peuvent-elle apparaitre dans un texte court comme la fable ? I) Une fable, un apologue (V.

1 à 3) II) Le portrait du personnage (V.

4 à 19) III) La leçon de la nature (V.

20 à 31) IV) La moralité de l'histoire (V.

31 à 33) I] Fable /Apologue Ø Le titre porte à rire et souligne une disproportion.

On peut se poser la Q : Y-a-t-il du ridicule derrière celui-ci ? On ne s'attend pas à une réflexion sérieuse. Ø Les 3 premiers vers introduisent le récit et la thèse.

L'ensemble du texte est un récit qui va illustrer lamoralité des 3 vers.

C'est une démonstration par l'exemple. Ø V.1 : La moralité est sur un hémistiche : « Dieu fait bien ce qu'il fait », phrase affirmative = forme d'une sentence, présent de vérité générale.

« Dieu » à l'initial du vers.

Répétition du v.

faire.V.1 « La preuve » langage mathématique, de logique, annonce une parodie de raisonnement, de savoir, à la limite de la moquerie.V.2 « Univers » forme de grossissement La Fontaine joue sur l'étonnement du lecteur Ø V 3 Forme de démonstration en octosyllabe, retombe en mode mineur.

La 1ere pers du singulier montre quel'auteur interfère, repris au vers 20 « nôtre ».

Langage simple, populaire et courant lors des rimes. II] Portrait du personnage Ø Celui-ci est au cOeur du récit (schéma actanciel) avec une situation initiale V.4 « un villageois considérant » personne + participe présent, action en cours, activité principale, une certaine sagesse. Ø La considération est également l'élément perturbateur.

On parle d'un sujet sain, populaire, V.5 « ce fruit ». Ø V5 et 6.

L'orgueil, la superbe du paysan.

Discourt direct qui s'ouvre sur une Q, réflexion en alexandrin.

Cesvers le placent comme un rival de Dieu, périphrase, « l'auteur de tout cela ». Sa réflexion se base sur une antithèse V.5 « gros, menue » Ø V7 à 10.

Le paysan refait le monde, la création, octosyllabes.

Ponctuation forte, coupe forte, rythmemorcelé, simple.

Le paysan vit dans un monde de simplicité, d'évidence (autre trait de caractère).

V8 « je l'aurais pendue » conditionnel, monde suggéré par l'image.

V9 subj.

de l'irréel du passé renforcé par « justement ». Le paysan cherche un monde de correspondance v 10 « Tel… Tel » préposition « pour » marque la fin.

Ton réaliste et familier Ø Homme qui se base sur ce qu'il voit, sur l'apparence des choses, personne démiurge. Ø V11 « Tel fruit, tel arbre » Satisfaction du paysan, La Fontaine pose les bases de notre propre portrait. Ø V12 et 13.

« c'est dommage, Garo, que tu n'es point entré Au conseil de celui que prêche ton curé » Le paysan est simple d'esprit, il se parle à lui-même.

Il déplore de ne pas avoir fait partie du conseil de Dieu. Ø V14 et 15 alexandrins.

« Tout » pronom indéfini, Subjonctif de l'irréel.

Son raisonnement ne tient que par l'exemple.

Le monde est un système binaire.

« Gland » initial du vers, « qui » pronom relatif, référence, comparaison : proposition qui développe le nom.

Il veut refaire le monde à sa propre échelle. Ø V16 Q interro-négative.

Il pointe l'erreur de Dieu.

« En cet endroit » son raisonnement ne va pas plus loin.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles