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Le chapeletPar la reprise inlassable du " je vous salue, marie ", on entre avec latendresse maternelle de la vierge dans les mystères de Jésus.

Publié le 23/05/2020

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« Le chapelet Par la reprise inlassable du “ je vous salue, marie ”, on entre avec la tendresse maternelle de la vierge dans les mystères de Jésus. La dévotion à la Vierge Marie, Mère de Dieu, est caractéristique des catholiques et aussi des orthodoxes.

les protestants considèrent que donner à la Mère, c’est enlever au Fils, et que le recours à Marie fait offense à la médiation universelle du Christ, alors que Notre Dame dépend tout entière de Notre Seigneur. La forme la plus répandue de la dévotion mariale est assurément le chapelet, qui se trouve dans toutes les mains catholiques jusque dans la mort.

Ce “ petit chapeau ” est une couronne qui veut honorer la Vierge Mère : elle compte cinq dizaines de grains séparées par un grain isolé, qui invitent à cinquante récitations du “ Je vous salue, Marie ”, cinq du “ Notre Père ” et cinq du “ Gloire au Père ”.

La couronne comporte encore une sorte de queue terminée par une croix, qui compte trois grains successifs entourés de deux grains isolés : sur la croix, qui est en fait le point de départ, on dit le “ Je crois en Dieu ” ; sur le premier grain isolé le “ Notre Père ”, puis trois “ Je vous salue, Marie ” et enfin un “ Gloire au Père ”.

Le chapelet honore donc à la fois La Trinité, la Croix et la Vierge, qui sont les réalités catholiques fondamentales. Le chapelet n’est qu’une partie du rosaire.

Dire le rosaire, c’est offrir à Notre Dame une guirlande de roses, en fait trois chapelets.

La fête du Rosaire, le 7 octobre, est liée à la victoire navale des chrétiens sur la flotte turque à Lépante, en octobre 1571. Le “ Je vous salue, Marie ” – l’Ave Maria – est aussi appelé “ la salutation angélique ”, puisqu’il reprend le salut de l’ange Gabriel à Marie lors de l’Annonciation, augmenté de celui d’Élisabeth lors de la Visitation.

La deuxième partie de la prière n’est pas directement évangélique : “ Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen ”.

Dans la récitation personnelle ou communautaire, des variantes sont pratiquées, en particulier les “ clausules ”, qui développent la première partie en lien avec les mystères médités. Il s’agit en effet d’entrer, par la proximité du c œ ur de Marie, dans la profondeur des mystères du salut.

Les trois chapelets du rosaire sont successivement consacrés aux mystères joyeux, aux mystères. »

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