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Le burlesque

Publié le 18/05/2020

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« Le burlesque Le registre burlesque (mot qui vient de l’italien burlesco se qui signifie farce ou plaisanterie) est une technique dans la litterature qui consiste à adopter un vocabulaire et un ton grotesque pour une situation dramatique ou l’inverse.

Dans la littérature française classique , le burlesque procède d’un décalage entre grandeur et petitesse.

Le théâtre de Molière recourt fréquemment au burlesque.

Le burlesque naît ainsi du décalage entre le comique et le lyrique ou le tragique ou pathétique.

À titre d’exemple figurent les nombreuses tirades d’Arnolphe ( L’École des femmes , 1662 , de Molière) qui emploie le champ lexical de l’amour (« amoureuse ardeur ») avec une aspiration à la noblesse des sentiments et qui, en même temps, est tourné en ridicule par la trivialité de ses préocupations (la femme n’est qu’un objet « mariée à demi »).

Le public assiste à la révélation des deux facettes du personnage, suggérant le ridicule, le burlesque.

intertexte, intertextualité • On appelle intertextualité la relation qui unit un texte littéraire à d'autres textes préexistants auxquels il s'oppose ou fait écho.

L' intertexte est alors cet ensemble d'écrits auxquels le texte est relié, explicitement ou non. Les fables d'Ésope et de Phèdre, par exemple, constituent une grande part de l'intertexte des Fables de La Fontaine. • Le fait de regrouper les textes par genres littéraires implique déjà l'idée qu'un texte se crée toujours, d'une certaine manière, dans une relation intertextuelle à d'autres textes. Par exemple, Antigone de SOPHOCLE ou d’ANOUILH montre que le mythe est toujours vivan Le Chêne et le Roseau est, avant d’être une fable de Jean Anouilh, une fable de Jean de la Fontaine, fabuliste du XVII°s.

Cette fable se trouve en dernière position du premier Livre des Fables parues entre 1668 et 1693.

La fable de La Fontaine est elle-même une reprise de la trame narrative de l’apologue ésopique « Le roseau et l’olivier », même si La Fontaine choisit, à la différence d’Esope, de donner la parole aux deux personnages. La cigale et les fourmis Esope (VIIe-Ve siècle avant J.-C.), Fables, La cigale et la fourmi Jean de La Fontaine, Fables, 1668 La cigale et la fourmi Yak Rivais, Les contes du miroir, 1988. »

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