l'aveu princesse de Clèves

« L’aveu Introduction : Marie-Madeleine Pioche de la Vergne connu sous le nom de Madame de La Fayette est considérée comme un auteur du classicisme après avoir inventé le roman psychologique moderne au 17 ème siècle : La Princesse de Clèves.

Ce roman est son plus grand chef d’œuvre et est influencé par la pensée janséniste.

Elle livre une œuvre pessimiste où l’amour est toujours néfaste.

Dans les premières pages du roman, l’auteur décrit la cours d’Henry II, où règne la beauté, la galanterie, les passions amoureuses, mais aussi l’hypocrisie.

Dans l’extrait étudié, la princesse s’est rendu compte qu’elle ne pouvait pas lutter contre l’amour qu’elle ressent pour Nemours.

Elle avoue donc dans la 3 ème partie du roman cet amour à son à son mari Monsieur de Clèves, sous les yeux du duc de Nemours, caché lors de la scène. En quoi cette scène comporte-t-elle des accents tragiques ? 1 er mouvement : Le discours de la Princesse de Clèves (à « si vous pouvez ») 2 ème mouvement : La réaction de Monsieur de Clèves (de « Monsieur de Clèves » à la fin) 1 er mouvement : Cet aveu témoigne du désir de la princesse et de sa foi dans la compréhension du prince à l’égard de cet amour fatal. - La locution : « Eh bien » = marque la violence sur soi, l’effort qu’il y a à livrer cette confession - « en se jetant à ses genoux » = relation de cause et de moyen, comme au théâtre - L’hyperbole : « que l’on n’a jamais fait à son mari » = le mot mari prend son sens car il s’agit d’une passion adultère - « il est vrai que j’ai des raisons de m’éloigner de la Cour et que je veux éviter les périls où se trouvent quelque fois les personnes de. »