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LANNES, Jean, duc de Montebello (10 avril 1769-31 mai 1809) Maréchal d'Empire Issu d'un milieu modeste, apprenti teinturier, qui s'engage volontaire en 1792, il est remarqué par BonaparteF227 en raison de sa fougue pendant la campagne d'ItalieO223.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : LANNES, Jean, duc de Montebello (10 avril 1769-31 mai 1809) Maréchal d'Empire Issu d'un milieu modeste, apprenti teinturier, qui s'engage volontaire en 1792, il est remarqué par BonaparteF227 en raison de sa fougue pendant la campagne d'ItalieO223. Ce document contient 231 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« LANNES, Jean, duc de Montebello (10 avril 1769-31 mai 1809) Maréchal d’Empire Issu d’un milieu modeste, apprenti teinturier, qui s’engage volontaire en 1792, il est remarqué par Bonaparte en raison de sa fougue pendant la campagne d’Italie .

Après l’avoir fait chef de brigade, Bonaparte obtient qu’il soit nommé général de brigade.

Blessé de trois coups de feu à Arcole , après l’avoir été deux mois plus tôt lors d’une autre bataille, son courage lui vaut le surnom de Roland de l’armée.

Après la campagne d’Egypte , il rentre avec Bonaparte en France et participe au coup d’Etat du 18 brumaire .

Son passage au Grand-Saint-Bernard, ses victoires à Marengo lui valent un sabre d’honneur.

Il est quelques mois ambassadeur au Portugal puis revient à la grande armée avec le titre de maréchal d’Empire qui lui est décerné le 19 mai 1804.

Lors de toutes les grandes batailles, son rôle est décisif.

C’est lui encore qui défait l’armée régulière espagnole à Tudela et prend Saragosse.

De retour sur les champs de bataille d’Allemagne, il a les jambes broyées par un boulet le 22 mai 1809.

Malgré les opérations de Larrey qui l’ampute, il meurt après une agonie de quelques jours au cours de laquelle il témoigne encore de son courage. Napoléon pleure auprès de ce maréchal qui meurt dans ses bras, en lui conseillant de finir la guerre, qu’il n’a jamais aimée, au plus tôt.. »

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