La presse qualifie volontiers certains événements ou faits divers de.« tragiques». Cet emploi du terme vous paraît-il conciliable avec l'illustration qu'en donne la littérature dans la «tragédie» ?
Publié le 02/07/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : La presse qualifie volontiers certains événements ou faits divers de.« tragiques». Cet emploi du terme vous paraît-il conciliable avec l'illustration qu'en donne la littérature dans la «tragédie» ?. Ce document contient 2223 mots soit 4 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.
« PLAN SCHÉMATIQUE I. La tragédie : des événements «tragiques». « Tragique : qui inspire des émotions intenses, par son caractère effrayant ou funeste» (Dictionnaire Robert). On emploie le terme par extension évidemment, alors qu'il s'appliquait primitivement aux faits qui se produisaient dans une tragédie. Cette extension ne paraît pas abusive quand on sait que : 1. Les événements de la tragédie ont le caractère « effrayant ou funeste» qu'on qualifie de« tragique» dans la vie quotidienne. On voit : des combats dont on attend l'issue (Horace); l'action de personnages effrayants (Britannicus); des morts qui touchent une famille (Iphigénie); ...»
«
1 / 2 La
presse qualifie volontiers certains événements ou faits divers de.« tra
giques».
Cet emploi du terme vous paraît-il conciliable avec l'illustration qu'en
donne la littérature dans la «tragédie» ?
2 / 2.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- A. de Musset écrivait, dans un article publié le 1er novembre 1838, dans la Revue des Deux Mondes, sous le titre De la tragédie, à propos de Mademoiselle Rachel : « Si les règles étaient des entraves inventées à plaisir pour augmenter la difficulté, mettre un auteur à la torture et l'obliger à des tours de force, ce serait une puérilité si sotte qu'il n'est guère probable que des esprits comme Sophocle, Euripide, Corneille s'y fussent prêtés. Les règles ne sont que le résultat des calc
- Les classiques pensaient que la littérature avait pour fonction d'instruire en plaisant. Pensez vous que ces deux objectifs soient conciliable dans une oeuvre ?
- Devant les succès littéraires de George Sand, sa tante lui écrit. Elle revient sur les faits évoqués dans cette page d'Histoire de ma vie, en donne sa propre version et y ajoute quelques souvenirs personnels.
- Un critique écrit : « La littérature n'a pas pour vocation de se mêler des débats politiques ou sociaux. A vouloir jouer ce rôle, elle se pervertit et ne parvient même pas à être efficace. » Ce jugement vous paraît-il fondé ?
- Andromaque vous paraît-elle une tragédie du pouvoir ou de l'amour ?