La guerre d'espagne

«  Etude : 1936 – 1939 les interventions étrangères dans la guerre civile espagnole : géopolitique des totalitarismes Activité : vers l’analyse de document Compétences travaillées : Procéder à l’analyse critique d’un document selon une approche historique et construire une argumentation. Montrez à l’aide des documents et de vos connaissances, dans quelle mesure la guerre d’Espagne permet aux puissances totalitaires européennes d’affirmer des ambitions idéologiques et géopolitiques Problématique proposée : Dans quelle mesure la guerre d’Espagne permet-elle aux régimes totalitaires d’affirmer des ambitions idéologiques et géopolitiques ? Éléments issus du document 1 Eléments issus des autres documents Les ambitions idéologiques des régimes totalitaires en Espagne POUR FRANCO ET SON PARTI « L 'Allemagne ne pouvait tolérer que l'Espagne devînt la proie du communisme » = ainsi, il y a dans cette guerre un enjeu idéologique pour Hitler, un « national- socialiste » = il veut empêcher l’extension de l’idéologie communiste. « Mussolini, lui aussi, était favorable à Franco » = l’Italie fasciste n’est pas favorable aux idées républicaines et est plus proche de celle de Franco.

« La majeure partie de l'armement des troupes du gouvernement de Madrid venait de Russie » = il s’agit d’une tactique pour étendre la pensée communiste et donc devenir un allié des républicains (ennemis d’Hitler) qui pourrait permettre un régime communiste en cas de DOC 2 : - Soutien à Franco : Allemagne nazie, Italie fasciste.

- Soutien aux républicains : URSS avec la brigade nationale (des soldats enrôlés un peu partout dans le monde partageant les valeurs du communisme). DOC 3 : Propagande italienne en faveur du franquisme = les 3 régimes sont vus comme « alliés » = soutien total à Franco et montre que les 3 régimes sont unis face à un seul bloc : les républicains soutenus par l’URSS DOC 4 : On retrouve ici une propagande pour enrôler des partisans à la brigade internationale = pour ceux qui pensent d’abord à leur idéologie, ne soutienne pas forcément tous les républicains mais leur propre parti (communiste). »