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LA FONTAINE, Jean de(7 ou 8 septembre 1621-13 avril 1695)PoèteA son arrivée à Paris, Jean de la Fontaine est reçu comme avocat à lacour du Parlement mais ce sont moins les affaires à plaider quil'intéressent que les cercles littéraires de la capitale.

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : LA FONTAINE, Jean de(7 ou 8 septembre 1621-13 avril 1695)PoèteA son arrivée à Paris, Jean de la Fontaine est reçu comme avocat à lacour du Parlement mais ce sont moins les affaires à plaider quil'intéressent que les cercles littéraires de la capitale. Ce document contient 327 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« LA FONTAINE, Jean de (7 ou 8 septembre 1621-13 avril 1695) Poète A son arrivée à Paris, Jean de la Fontaine est reçu comme avocat à la cour du Parlement mais ce sont moins les affaires à plaider qui l'intéressent que les cercles littéraires de la capitale.

En 1647, il épouse une certaine Marie Héricart qui n’a encore que quatorze ans et demi. Cinq ans plus tard, il achète une charge de maître des Eaux et Forêts.

Les deux charges dont il hérite de son père et celle-ci lui suffisent pour se consacrer à la littérature.

C’est par une comédie imitée de Térence, L’Eunuque , qu’il commence sa carrière.

Autre imitation, cette fois d’Ovide, Adonis .

Ce poème, dédié à Fouquet en 1658, lui vaut une pension du surintendant des Finances.

Lorsque celui-ci est arrêté le 5 septembre 1661 , sur ordre de Louis XIV , il écrit une Elégie aux nymphes de Vaux qui est un éloge de son protecteur disgracié, comme l’a été Le Songe de Vaux, écrit quelques années plus tôt.

Cette fidélité lui vaut de devoir passer quelques temps en exil dans le Limousin.

Cinq ans plus tard, la charge de gentilhomme servant de Marguerite de Lorraine lui laisse le temps d’écrire et de publier ses premiers contes et ses premières fables, en 1668.

Si ce sont avant tout celles-ci que l’on attend de lui, il ne cesse pas pourtant d’écrire d’autres textes, profanes, licencieux ou religieux.

C’est à la protection de madame de La Sablière qu’il doit de pouvoir donner un second recueil de fables, et c’est à la protection de madame d’Hervart qu’il doit de publier en 1674 son dernier livre de fables.

Lorsqu’a éclaté “ la querelle des Anciens et des Modernes ”, La Fontaine a pris, avec nuance et ironie, le parti des Anciens.

C’est qu’il doit à Térence d’avoir écrit sa première comédie, à Ovide d’avoir reçu sa première pension et qu’il doit à Esope, en particulier, les thèmes de ses fables.. »

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