La délicatesse de goût (Hume)

« BADAKOU Abertine-Ange Licence 1 PHILOSOPHIE DE L’ART EXERCICE 1 1/ Selon Hume, la délicatesse de goût se caractérise par le fait d’avoir une certaine sensibilité par rapport à toute sortes de beauté, de laideur à la sensibilité et à l’adversité, aux service reçus ainsi que aux tord subis.

C’est en quelque sortes un talent, la personne devant toutes sortes d’oeuvre se sens touché, ou même compris par rapport à la délicatesse de ce qui lui est présenté, il devient sensibles par toutes ces parties par les traits, cela lui donne un goût exquis.

Aussi une conversation intéressante et raffinée lui donne du plaisir, en somme la délicatesse de goût rend plus conséquent le plaisir ainsi que le bonheur, et rends sensibles aussi bien aux souffrances que aux plaisirs, tout les éléments s’intensifie.

2/ Puisque, la philosophie esthétique, naît à partir d’un jugement de goût,et de la notion de sens commun, car en esthétique il n’existe ni concepts, ni de lois ni d’idée préconçue, mais commun accord, ressentis par chacun, sur un même sentiment découvert et partagé. EXERCICE 2 1/ L’interêt corrompt notre jugement de goût, car l’interêt pousse à agir d’une certaine manière pour son obtention, le sentiment de plaisir doit se placé avant l’interêt de la raison, chez Kant l’oeuvre en soit est imperceptible, puisque tout ce que nous nous représentons sont des phénomènes, ils s’adaptes à notre personnalité, et c’est les traces de notre personnalité que nous percevons, non la chose en elle-même, la chose reste neutre. 2/ En effet, car l’appréciation serai influencé par notre subjectivité, reflet tant nos croyances, nos passions, ou bien nos peurs, nos doutes d’un autre coté.

Le jugement du goût reste indéfiniment un jugement subjectif, jamais objectif.

Le goût est essentiellement propre de tout interêt, et ne se mélange pas avec d’autre satisfaction, c’est la faculté de juger sans aucun interêt un object ou représentation.. »