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La Commune de Paris20 mars 1871 : Dans Paris assiégé, les journées révolutionnaires de laCommune viennent de commencer.

Publié le 22/05/2020

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« La Commune de Paris 20 mars 1871 : Dans Paris assiégé, les journées révolutionnaires de la Commune viennent de commencer.

Le gouvernement, avec Thiers à sa tête, s'enfuit et se réfugie à Versailles.

Le général Mac-Mahon est chargé de sa défense. 26 mars 1871 : Paris élit une “ commune ” qui s'arroge tous les pouvoirs civils et militaires.

Elle ne représente encore que la moitié de la population parisienne et va siéger pendant cinquante-quatre jours. 3 avril 1871 : Marche des fédérés sur Versailles.

Pendant la Commune de Paris, les fédérés tentent une sortie de la capitale pour l'approvisionnement.

Les Versaillais leur interdisent le passage.

Les premiers affrontements entre les Versaillais et les Communards ont lieu.

Plusieurs fédérés, alors faits prisonniers, sont fusillés sans jugement par le général Galliffet qui déclare : “ C'est une guerre sans trêve ni pitié que je déclare à ces assassins.

” 21 mai 1871 : Premier jour de la Semaine sanglante.

C'est par la poterne du Point du jour que les Versaillais entrent dans Paris, alors que les Parisiens assistent à un concert aux Tuileries donné au bénéfice des orphelins et des veuves de la Commune.

Commence alors, le 22 mai, une Semaine sanglante au cours de laquelle toute femme ou tout homme qui est arrêté avec des traces de poudre sur les mains est fusillé sans jugement. 10 juillet 1880 : Amnistie des communards.

“ Quand me débarrasserez-vous de ce haillon de guerre civile ? ” Devant la Chambre des députés, Gambetta se bat pour obtenir que la loi d'amnistie des communards soit votée.

Après la Commune qui a été selon Karl Marx “ la première révolution dans laquelle la classe ouvrière était ouvertement reconnue comme la seule qui fut encore capable d'initiatives sociales ”, près de 40 000 fédérés avaient été faits prisonniers, entassés à Versailles, sur des pontons ou dans des forts, faute de place dans les prisons.

Il y eu 22 000 non-lieux et plus de 10 000 condamnations dont la moitié à la déportation.

Parmi celles-ci, celle de Louise Michel qui, figure emblématique, a été déportée à Nouméa.

Quatre conseils de guerre ont siégé sans relâche jusqu'en 1874.

Le lendemain, Gambetta aura la réponse à sa question : la loi est votée.. »

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