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LA CLASSIFICATION (2)On rassemble des organismes vivants.

Publié le 22/05/2020

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« LA CLASSIFICATION (2) On rassemble des organismes vivants. Il faut donc rassembler lÕenseignement commun et la totalitŽ des descendants, pour essayer dÕexploiter au maximum cette classification et le concept de descendance.

I.

VARIATION DÕUN CARACTERE. Si un caractre varie, cÕest que ce dernier prŽsente deux Žtats: - Un Žtat ancestral (plus ancien), - Un Žtat dŽrivŽ, rŽsultat de la transformation (le plus rŽcent).

Le partage dÕun Žtat ancestral sÕappelle la symplŽsiomorphie. Ce caractre est prŽsent hormis nous (?). En Žtudiant les primates, on constate quÕils possdent tous des poils.

Ces poils sont Žvidemment hŽritŽs dÕun anctre commun.

Mais, la seule prŽsence de poils ne suffit pas ˆ dŽfinir les primates.

Ainsi, lÕanctre hypothŽtique ayant prŽsentŽ des poils pour la premire fois est lÕanctre des primates, mais aussi lÕanctre de tout autre mammifre. La prŽsence de poils est un caractre primitif partagŽ dans le cadre de lՎtude des primates.

CÕest un degrŽ de paritŽ entre certains membres dÕindividus. Le partage dÕun caractre dŽrivŽ sÕappelle la synapomorphie.

Cela dŽtermine un groupe monophilŽtique (?).

Un caractre dŽrivŽ et partagŽ est dŽterminant.

Le problme est de discerner les caractres permettant dÕidentifier la culture des organismes vivants appartenant au mme groupe.

II.

LA SPECIFICATION. Cet art de la spŽcification rencontre des difficultŽs dÕapplication. En effet, tout ŽlŽment de ressemblance nÕest pas obligatoirement un caractre homologue.

Certaines ressemblances sont des convergences.

Une convergence est le rŽsultat des acquisitions indŽpendantes, dÕun mme caractre au cours de lՎvolution.

Au dŽpart, on se contente de formuler des hypothses sur les caractres.

Dans ces hypothses, certaines ne peuvent sÕavŽrer quՐtre que des convergences. A partir de ces hypothses, on construit tous les arbres possibles. On met alors en place des documents Žvolutifs.

On maximise la continuitŽ des Žtats de caractres identiques dans cet arbre.

Dans tous les arbres possibles, on essaye de mettre en place le moins de stades Žvolutifs possibles.

On retient dans tous ces arbres possibles, le plus parcimonieux, cÕest-ˆ-dire celui qui prŽsentera le plus petit nombre dՎtapes Žvolutives.

On retient la solution la plus simple, la plus Žconomique en hypothses de transformations.

Evidemment, ce principe de la parcimonie, de lՎconomie dans lՎtablissement des arbres, ne nous permet pas dÕobtenir un arbre parfait.

Cet arbre doit tre considŽrŽ comme une proposition ouverte et surtout liŽe ˆ une procŽdure transparente.

CÕest une procŽdure lourde, mais qui a lÕavantage de ne pas pouvoir tre calquŽe sur un prŽsupposŽ.

On partira de cette observation, et lÕon essayera de trouver le chemin le plus court dans lՎvolution.

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