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La Citoyenneté

Publié le 18/05/2020

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« La Citoyenneté L’ENFANT FACE A LACITOYENNETE ET LECIVISME. Si l’enfance court de15 à 35 ans il va s’en dire qu’il est confronté à deux phénomènes poignants : il est pubère et il sort de la 2°enfance qui l’a socialisé.

Il est aussi face à des adultes qui ont construit et normalisé une société sans lui demander son avis et où il va prendre part et s’activer. Pour s’y insérer l’adulte lui demande deux attitudes qui lui viennent de son éducation et des rapports sociaux : d’un bon citoyen imbu des valeurs civiques et morales, une responsabilité et une volonté de produire quelque chose, car il est en situation.

Voilà l’enfant dans un triptyque contraignant obéissant à des règles : la naissance, la société,l’éducation. DE LA CONCEPTUALISATION DES TERMES: LA CITOYENNETE LE CIVISME Si former éduquer l’enfant c’est former l’homme de demain participer à son devenir, il va s’en dire que l’éducation ne se fera pas sans une connaissance approfondie de celui -ci, à une connaissance des règles sociologiques et p pédagogiques qui sou tendent toute action de transmission des connaissances, au-delà du développement psychomoteur et mental il faut l’insérer dans un environnement harmonieux régi par des règles définies par les adultes. DE LA CITOYENNETE Le radical de ce mot est « la cité ».

Il faut partir delà pour définir les objectifs qui ont été à la définition de ce mot qui a plusieurs dérivés : citoyen-citoyenneté -citadin Platon disait qu’il faut essayer de rechercher et de monter les défauts qui font que les « ETATS » d’aujourd’hui ne sont pas gouvernés comme le notre (la cité Attique).

Par « ETAT », il fallait comprendre qu’il ne s’agissait pas de « l’état » au sens moderne du terme, mais des petites cités grecques constituées par une communaauté d’hommes se partageant (et c’est très important) les tâches communes.

Et pour la cité attique, il ya trois condition pour sa réalisation : l’égalité des fonctions de l’homme et de la femme, le rôle de la communauté des femmes et des enfants, et enfin la fonction du philosophe roi. De la cité émergeaient les idées qui étaient le « parchemin de la vie ».Au Sénégal on pouvait citer l’apport dans leur cité de Kocc Barma Faal et de Ndaamal Daaru, qui, chacun en ce qui les concerne a édicté des règles de vie dans leur environnement immédiat qui plus tard sont devenus lois ! C’est l’acceptation de ces règles qui conférait le statut de citoyen qui se définit comme « celui qui, dans la cité possède une fraction de pouvoir, membre du corps politique.

»La mise en ½uvre dynamique de toute la règle, en une synergie avec tous les membres de la cité s’appelle la citoyenneté.

Tous les citoyens obéissent à l’ordre civil qui crée par la société organisée correspondant à un ensemble de lois. Donc retenons que la société est civile car obéissant à des règles étatique.’est ce qui a fait que pendant la colonisation les français avaient institué des villes de plein exercice, jouissant de la citoyenneté française alors que les autres cité étaient ravalées au rang d’indigenes.ces villes étaient Dakar Gorée Rufisque et St Louis.

Ils avaient une idées de l’état , de la citoyenneté qu’ils appliquaient à ces cités. DU CIVISME Le civisme obéit à un mode de vie, un mode de vie tiré des règles et des comportements des citoyens : le drapeau, l’hymne, les institutions de l’état, les comportements sociétaux issus des lois énoncés plus haut. J’ai toujours considéré que le radical du mot civisme est « vie ».

Il ya d’abord vie et cette vie est plongée dans la cité et par extrapolation la cite lui a donné sa première syllabe qui donnera « civie », la vie dans la cité.

Et ceci lui confère à cet homme le grade de « civil » qui est tout autant un radical de civisme. Civil, civisme, civilité, civilisation : autant de vocables qui s’adressent intrinsèquement à l’individu. A l’école on a parlé de l’instruction civique : il fallait apprendre par c½ur des règles civiques sans possibilité pour l’enfant de les mettre en ½uvre parce qu’elles n’étaient pas siennes.

Viendra ensuite l’éducation civique où l’élève à partir d’une enquête vie la chose civique. L’enfant est au c½ur de « l état » ! Aujourd’hui on parle du vivre ensemble d’où la responsabilité de l’apprenant.

« L’enfant devient responsable de lui et de tous les autres.

» Et aussi le civisme cultive la volonté d’apprendre et d’entreprendre ; « la volonté étant le pouvoir de détermination et surtout d’exécution que doit posséder tout individu normal pour ordonner et résoudre d’une façon générale tous tes problèmes qui se posent journalièrement à lui.

» Dès la première et la deuxième enfance qui court de 2 à13 ans, il ne faut pas oublier qu’on a parlé de la morale occasionnelle avant sa formalisation.

Nous mettons l’enfant en dialectique entre les hommes les animaux et les choses : interdits et acceptations.

Il faut remarquer que chez nous même au stade phallique une attention accrue doit être observée pour ne pas créer de « rupture.

» C’est effectivement à l’enfance qu’on définit les règles et qu’on essaie d’établir des échelles de valeurs attachées au comportement de celui -ci.

Pénétré des règles de citoyenneté, imbu d’une éducation civique transmise par la société et le maître il deviendra nécessairement selon le mode d’approche, un bon ou un mauvais citoyen.

C’est pourquoi souvent il est difficile pour certains de séparer la nuance entre citoyenneté et civisme ; car les mêmes qui ont institué la cité et dégagé les règles ont aussi dégagé l’espace civique. DE LA CITOYENNETE ET DU CIVISME DE L’ENFANT. L’enfant nait et grandit dans une société.

Nourrisson (de 0 à 2 ans) il est familiarisé avec le jeu.

L’autre n’existe pas, c’est l’exacerbation du moi : l’égocentrisme est le mode de vie, le monde devient un objet à sucer.

Il veut qu’on fasse attention à lui il n’ya pas d’objets à part mais un tout ramené à lui. A la 2°enfance (3ans -13ans) s’installe du syncrétisme à la pensée discursive.

Il devient plus logique, reconnait sa gauche et sa droite, se positionne par rapport à l’autre, il devient tout simplement un être social. Tous ces phénomènes se passent devant ses parents et la société.

Il acquiert des connaissances logico-mathématiques, lit les lettres, forme des syllabes, et commence à comprendre les relations que les adultes ont créées pour lui.

Il s’insère et entre en société .Je disais qu’à la fin de la 2° enfance, il prend conscience de son moi, et fait une différence nette entre lui et l’autre ; une pierre est posée.IL lit et. »

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