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La chevelure - Baudelaire - Analyse

Publié le 23/05/2020

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« La chevelure: Composé de sept quintils tous en alexandrins.

Donc Baudelaire, narrateur dans ce poème, je, peut faire utiliser une forme où il montre ce que lui évoque une chevelure puisque ce poème est aussi long il a beaucoup de place.

Les rimes sont en abaab.

Plupart des rimes, riches, féminine et masculine en alternance.

Dans les Fleurs du Mal, la femme est un des thèmes principaux, dans ce poème aussi.

Utilise quelques « Ô » comme si la chevelure appartenait à une déesse.

Si on se focalise sur la chevelure, elle est constamment transformée et montre à chaque fois qqch d’autre.

Au début, montrée comme qqch de bestial ; « toison moutonnante », « crinière », « encolure ».

À la fin du premier strophe, comparée à un mouchoir.

Ensuite, passage à de comparaisons plus en lien avec nature ; « forêt aromatique », « l’arbre », « sève », « mer d’ébène », « huile de coco ».

Ensuite avec parfum, Baudelaire l’utilise comme un « vecteur » du souvenir et de la rêverie.

C’est le parfum qui l’aide à voyager.

Il commence par montrer que cheveux ont un parfum ce qui lui évoque par la suite différents endroits et souvenirs.

Et donc, il perçoit plusieurs parfums, le sujet du poème change constamment.

Ces parfums permettent à Baudelaire de s’évader de sa vie normale.

On voit que dès deuxième strophe le parfum devient vecteur de terres lointaines, de voyages et d’océans.

On peut aussi remarquer, comme dit dans poème que la chevelure c’st un port qui est le point de départ pour pouvoir voyager dans les différents endroits.

Déjà avant que on dise par écrit que la chevelure est comme un port, on le voit déjà avant ; « agiter comme un mouchoir », « vogue », « nage », voiles, « rameurs », « mâts ». On retrouve aussi caractéristiques de l’exotisme, assez importants pour Baudelaire dans ce recueil ; les pays lointains ; Asie, Afrique et leur climat chaleureux ; « brûlante Afrique », « l’ardeur des climats », « l’éternelle chaleur ».

On peut dire que c’est un monde rêvé pour Baudelaire, parce que : lieu pas précisé, « là- bas ».

Et aussi que c’est la chevelure qui lui évoque tous ses souvenirs et rêves, même si ces souvenirs sont loins. Baudelaire parle tout au long de la chevelure même s’il n’en parle pas directement.

Le titre nous déjoue nos attentes et à la place il nous montre ce que lui ressent en voyant cette certaine chevelure.

Il se crée un monde imaginaire qu’il a déjà vécu à peu près, puisqu’il parle pas d’endroits précis.. »

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