L’avenue de l’Opéra, soleil matinée d’hiver, Camille Pissarro 1898.

« L’avenue de l’Opéra, soleil matin ée d’hiver,  Camille Pissarro 1898.          L’impressionnisme est un mouvement pictural fran çais apparu dans la   seconde moiti é du XIX ème si ècle, et Pissarro est un peintre de ce mouvement. Il   peint en 1898  L’Avenue de l’Op éra, soleil matin ée d’hiver . C’est une huile sur   toile de 65 cm sur 81 cm. Ce qui est int éressant avec cette œuvre c’est que   l’auteur est consid éré comme un paysagiste, et donc nous pourrons  étudier un   paysage impressionniste.  En effet, ce tableau repr ésente une sc ène de vie quotidienne, un boulevard   parisien par une fraiche matin ée d’hiver. La ville de Paris anim é par   l’effervescence des habitants des cal èches et des fiacres.              J’ai choisie cette  œuvre car c’est l’un des tableaux impressionniste qui   m’a l e plus inspir é de par son contenue. En effet, Camille Pissarro r éussi  à   immortaliser Paris  la plus  repr ésentative de son  époque, peupl ée d’un tout   nouveau type d’habitant. L’habitant urbain, omnibul é par son travail et ses   pr éoccupations ne se souciant gu ère les uns des autres. Cela se traduite sur le   tableau par le fait que chaque individu se dirige vers une destination diff érente.

  La particularit é ici c’est que lui l’auteur s’int éresse  à ces personnes, on peut le   constater  de par le cadrage qui semble plus porter sur la foule. On est tent é de   dire qu’ici c’est l’ époque qui fait l’œuvre,  Pissarro parait comme la seule   personne se pr éoccupant  des autres en peignant ce qu’est devenue la capitale   apr ès la r évolution industriel. En effet, comme je l’ai dis c’est une œuvre impressionniste et donc tr ès affecter   par l’apparition des villes et en particulier Paris. Ces peintres on voulu sortir de   leur atelier pour peindre dehors et  être au plus pr ès de ce qu’ils peignent. Le   paysage en expansion  à cette  époque  était bien  évidement les villes. Sachant que   Pissarro s’attaque au motif urbain tr ès tard dans sa vie, c'est­ à­dire en 1890  à   trente ans, il est donc contemporain au c élèbre photographe F élix Nadar et de   bien d’autre encore. On voit donc qu’il y avait  à une v éritable attirance  à   l’ époque pour les paysages urbains et Pissarro ne fait en quelque sorte que de   suivre ce mouvement. Tout autant que d’autres artistes impressionnistes tentant   de captiver sur une m ême toile diff érents instants de la ville. De plus Camille   Pissarro peint ce tableau pr écis ément sous le second Empire et pendant la   transformation du Paris d’Haussmann et donc un Paris qui prend en hauteur et   en espace accentuant ce mouvement de fourmillement de la population       . »