L'INHUMAINE
Publié le 06/12/2021
Extrait du document
L'INHUMAINE
Réalisation
Scénario
Adaptation littéraire
Directeur de la photographie
Décors
Robes
Adaptation musicale
Production
Longueur
Marcel L'HERBIER (1924)
Marcel L'HERBIER
Pierre MAC ORLAN
Georges SPECHT
Fernand LÉGER (le laboratoire)
Alberto CAVALCANTI
(la grande salle du dîner)
Claude AUTANT-LARA
(le jardin d'hiver)
Robert MALLET-STEVENS
(architectures extérieures)
Paul POIRET
Darius MILHAUD
Cinégraphic (Marcel L'Herbier)
3 623 mètres
INTERPRÉTATION
Claire Lescot
Einar Lorsen
L'innocente
Djorah de Nopur
Wladimir Kranine
Franck Malher
et les Ballets suédois de
L'HISTOIRE Georgette LEBLANC laque CATELAIN Marcelle PRADOT Philippe HÉRIAT Léonid WALTER de Fred KELLERMAN Rolf de MARÉ MALTE
Une très célèbre cantatrice d'avant-garde, Claire Lescot, réunit souvent dans son étrange demeure les plus brillants représentants de l'intelligentsia internationale. Ils cherchent à la séduire, elle ne songe qu'à les dominer. Son insensibilité l'a fait surnommer « l'inhu¬maine «.
«
L'INHUMAINE
Réal isation
Scénario
Adaptation littéra ire Directeur de l a phot ogra phi e
D écors . .......... ....
.
R
obes ...... .....
.
Adaptation mu sica le Producti on Longueur
Marcel L'H ERBIER (1924)
Marcel L'HERBIER Pierre MAC ORLAN Georges SPECHT Fernand LÉ GER (le laboratoire)
AJberto CAVALCANTI
(la grande
salle du dîner)
Claude AUTANT-LARA (le jardin d'hiver)
Robert MALLET-STEVENS (architectures extérieures)
Paul POIRET
Darius
MILHAUD C inégraphic (Marcel L'Herbier) 3 623 m ètre s
INTERPRÉTATION
Claire Lescot Einar Lorsen
L 'inn ocente
Djorah de Nop ur Wladimir Kra nine ....
Franck Malher ...
et les Ballets su é dois de Georgette
LEBLANC
Jaque
CA TELAIN
Marcelle PRADOT Philipp e HÉRIAT
Léonid WALTER de
Fred KELLERMAN
Rolf de MARÉ MALTE
L'HISTOIRE
Une trè
s célèbre cantatric e d 'avant-garde,
Claire Lescot, ré unit souvent dans son étrange
demeure les plu s brill ant s repr ése ntant s de l'intelligentsi a internation ale.
l ls ch erc h ent à
l a séduire, elle ne songe qu'à les dominer.
Son insensibilit é l' a fait surn omme r « l'inhu m ain e ».
Un soir de grande réce ption , un invit e se fait a ttendr e.
Il s'ag it d 'un jeune ingénieur scandin ave qui se livre à de mysté rieuses
r ec herches scientifiques .
Le repas comm ence
sans lui.
Vex é
du pe u d'int érê t qu'il su scite , ce
derni er simule un acci dent a fin de faire pre n-
dre co nsc ien ce à la jeune femme de so n man que d'hum anit é.
L e publi c se mêle de l'a ffaire et t roubl e un
d es ré cit a ls de la star.
Sur ces entr efaites elle
est victime d'un att ent at perp étr é par un riva l ja lo ux, l'inqui éta nt fak ir Djorah de Nopur.
Mordue pa r un s erpent venime ux
dis simul é dans un b ouque t de fleurs, elle est
co nduit e m oribo nde au l abora toire futuriste
du je une sava nt.
Celui-ci m ett ra en route une
machinerie compliqu ée po ur lui rendre la vie et ent e ndr e e nfin , de la bouche de l' inhu
maine dompt ée, l'a veu de so n attachement.
LA PETITE HISTOIRE
Ce11e « his1 oir e féérique » ima gin ée par Mar
ce l L'H erbi er, e 1 dom Pierr e Ma c Orlan écriv il une adap1a1i o n /iu érair e dom la pub/i ca1ion
co nco rda avec la sor1ie du fi lm, é1ai1 sunow un prétexie à la r éunion de 1a/ems ar1i s1iqu es représe nw1ifs de l'é poqu e : le peimr e Fernand
L ége r, /'ar chite cte Ma/l ei-Stevens , le co wuri er Paul Poire1, le co mposi1 e ur Darius Milhaud ,
l es ball e ts suédois de Rolf de Mar é, e1c.
L'ini
tiati ve de /'entreprise reve nail à Georgette
Leblan c (compagne du poète Maurice Mae1e r
lin ck , ca111a1ri ce de prof ess io n), qui co -pr odui
s il e l i111e rpr é 1a le fil m (ce fui son uniqu e rôle à l'écr an).
L 'I N H UMA INE marqua le 1riomp h e du s1yle «Ans Déco ».
Ce fw, di! Mar cel L' H e r bier, « une symhèse du mou vemenl ar1isriqu e français d es années 1925 » .
Pour la séq uence
f inal e de r éanima1ion dans le lab oratoire , le
c in éasle avail ménag é sur la pelli cu le des w ch es - de cou leur, r ehau ssées par d es effe 1s d e pe r- ~ cussion "1usic ale (l'un el l'autr e aujour d'hui -~ p erdus).
On p ew p enser que Frilz Lang s'e n :§ inspira dans METROPOLIS.
o; Malgré la conjon c1ion de tou s ces 1a/ems , ::l le fi lm flll un échec commercial el cri 1iqu e à g peu près 1owl.
.§ IQJ.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓