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Juste la fin du monde, partie II scène 2 : lecture linéaire

Publié le 04/06/2021

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« Classe de Première : 3-5-10 Contextualisation Après les retrouvailles familiales marquées par les conventions sociales et la politesse, les différents membres vont développer une parole logorrhéique, narrative et rétrospective qui explique leur passé en l’absence de Louis à qui ils vont faire des repr oches.

L’intermède constitue un moment de pause - alors que généralement il désigne un divertissement - et l’enchainement des scènes relève d’une espèce de montage de fragments juxtaposés qui sont déliés.

Ce moment suggère l’échec de la communication au s ein de la famille et l’impossible reconstitution du noDXIDPLOLDO. Dans la deuxième partie , la rupture se consomme, la violence se fraie un chemin et monte progressivement. Cette scène est divisée en 2 moments qui tournent autour d’Antoine principalement. Dans le 1er mouvement, qui ne fait pas partie de cet extrait, Antoine, qui règle ses comptes avec Louis, développe un déni de la culpabilité car il se sent victime de sa propre incompréhension et de sa famille en même temps. Projets de lecture ▪ En quoi cette scène souligne -t-elle l’échec total de la communication ? ▪ Dans quelle mesure cette scène est -elle tragique ? ▪ Comment cette scène souligne -t-elle l’incommunicabilité entre les membres de la famille ? ▪ Comment cette scène souligne -t-elle l’impossible r econstitution du noyau familial ? Mouvements de la scène 1er mouvement : déclenchement du conflit et déni de la culpabilité : « Louis, ce que tu penses … Vous êtes terribles, tous, avec moi. » ! » (l.1 -l.12) 2ème mouvement : la paranoïa d’Antoine : « Elle ne te dit rien de mal …Tu me touches : je te tue. » (l. 13 -l.39) Analyse linéaire 1er mouvement : le déni de la culpabilité : « Louis, ce que tu penses … Ne me regardez pas tous comme ça ! » (l.1 -l.12) ▪ L.1 -2 : Construction interrogative (= question rhétorique ) se lit comme un rejet de la culpabilisation + par le biais de l’apostrophe (l.1), il implique Louis comme témoin de son innocence. ▪ Recours au pronom « en » et a la préposition indéfinie « quelque chose » = banalisation de l’accusation dont Antoine est l’objet → victimisation d’Antoine qui. »

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