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Jean-Luc Seylaz

Publié le 17/05/2020

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« Français-Composition littéraire « Le lecteur éprouve le sentiment de se trouver en présence d’un mal pur, d’une méchanceté gratuite mais sans faille » Jean-Luc Seylaz Premièrement, cette citation nous conduit à définir ce que Seylaz entend par mal pure, méchanceté gratuite et sans faille.

Selon le critique, le lecteur se trouve dans l’obligation d’éprouver un sentiment de parfaite amoralité, d’un mal qui ne serait pas contaminé par le bien.

Ensuite, Seylaz veut nous faire comprendre que Merteuil et Valmon sont méchant pour être méchant, qu’ils usent de leur domination sans motifs particuliers, puisque leurs victimes ne leur ont rien fait.

Finalement, Seylaz utilise l’expression « sans faille », afin de dire que la méchanceté est exempte de tout défaut. D’après Jean-Luc Seylaz, Valmont et Mme de Merteuil sont des êtres parfaitement amoraux.

Ils font délibérément du mal à leur victime même si celle-ci leur ont rien fait avec une cruauté réfléchi, parfaite. Valmont et Mme de Merteuil sont-ils des êtres parfaitement amoraux comme prétend Seylaz ou sont-ils aussi capable parfois d’empathie ? Pour répondre à cette question, il faut se pauser certaines questions : Comment choisissent-ils leur victime ? Comment Valmont et Merteuille manifestent-ils leur méchanceté ? Jusqu’à quel point la maîtrise de la méchanceté des deux protagonistes est elle total ? Comment cette méchanceté pourrait se rencontrer contre eux ? Dans les liaisons dangereuses, il y a un trop grand déséquilibre entre la honte qu’éprouve Mme de Merteuil envers Gercourt et la revanche qu’elle prend.

Ce sont donc des victimes gratuites.

Cela semble être plus une excuse pour pouvoir agir.

Mme de Tourvel sera un défit pour Valmont qui l’a considérera dans un premier temps, un trophée de plus à acquérir.

Elle tombera par la suite dans une dépression qui la conduira jusqu’à sa mort.

Cécile de Volanges est aussi une victime gratuite du roman.

Elle se fera manipulé, perdra sa virginité, sera humiliée et retourna finalement au couvent. Valmont et Mme de Merteuil manifestent leur méchanceté par le biais de la manipulation de victimes innocentes.

Cette méchanceté est exécutée sans remords et devient presque banale pour les deux acteurs.

C’est ici qu’opère une certaine séduction où s’unit l’angoisse et l’envoûtement du lecteur.

Cette perfection nous conduit dans une adoration de cette méchanceté, « mal pur ».

Les actes sont commit sans fautes et sans aucuns regrets.

Mme de Merteuil n’a aucun mal de joueur un double jeu de confidente avec Cécile dans le seul bute de se venger de Gercourt, son ex amant.

Dans la vrai vie, le lecteur serait scandaliser par cette attitude, mais ici la méchanceté est si pure, que le lecteur ne peut que constater la supériorité intellectuelle de Valmon et Merteuil.

C’est pour cette raison que le lecteur tombe sous le charme de personnes particulièrement brillant.

L’intelligence est couplée au mal.. »

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