Irène
Publié le 05/12/2021
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Impératrice d'Orient, sainte de l'Église orthodoxe grecque (vers 752 - 803) De naissance obscure, mariée à seize ans à Léon VI qui ne fait que passer sur le trône (775-780), au décès de celui-ci elle assure la régence de l'Empire, son fils Constantin VI n'ayant que dix ans. Elle gouverne avec dureté, écartant ses beaux-frères du pouvoir. Iconophile, elle favorise la restauration du culte des images. Elle réunit avec l'aide de Taraise, patriarche de Constantinople, le second concile de Nicée en 787, destiné à rétablir l'orthodoxie en condamnant les édits iconoclastes. Cette décision est assez bien reçue dans l'Empire. Forte de ce succès, elle cherche à écarter son fils Constantin du pouvoir. Celui-ci la fait détrôner en 790. De retour d'exil, elle s'acharne à le discréditer. Consciente des sympathies de son fils pour les iconoclastes et craignant une guerre civile dans l'Empire, elle accepte que Constantin soit énucléé ; il meurt probablement peu après. Elle se fait proclamer empereur à sa place, en 797. Sur le plan intérieur, elle apporte son soutien aux riches commerçants, favorise la reprise des échanges commerciaux dans les Balkans, ce qui la conduit à verser un tribut au calife Haroun al-Rachid. Elle favorise également la restauration du monachisme créant le monastère du Stoudion. Suite à des revers militaires, elle est renversée, envoyée jusqu'à la fin de ses jours dans l'île de Lesbos. Son corps ramené à Constantinople est vénéré comme une relique. L'Église orthodoxe l'a canonisée.
Impératrice d'Orient, sainte de l'Église orthodoxe grecque (vers 752 - 803) De naissance obscure, mariée à seize ans à Léon VI qui ne fait que passer sur le trône (775-780), au décès de celui-ci elle assure la régence de l'Empire, son fils Constantin VI n'ayant que dix ans. Elle gouverne avec dureté, écartant ses beaux-frères du pouvoir. Iconophile, elle favorise la restauration du culte des images. Elle réunit avec l'aide de Taraise, patriarche de Constantinople, le second concile de Nicée en 787, destiné à rétablir l'orthodoxie en condamnant les édits iconoclastes. Cette décision est assez bien reçue dans l'Empire. Forte de ce succès, elle cherche à écarter son fils Constantin du pouvoir. Celui-ci la fait détrôner en 790. De retour d'exil, elle s'acharne à le discréditer. Consciente des sympathies de son fils pour les iconoclastes et craignant une guerre civile dans l'Empire, elle accepte que Constantin soit énucléé ; il meurt probablement peu après. Elle se fait proclamer empereur à sa place, en 797. Sur le plan intérieur, elle apporte son soutien aux riches commerçants, favorise la reprise des échanges commerciaux dans les Balkans, ce qui la conduit à verser un tribut au calife Haroun al-Rachid. Elle favorise également la restauration du monachisme créant le monastère du Stoudion. Suite à des revers militaires, elle est renversée, envoyée jusqu'à la fin de ses jours dans l'île de Lesbos. Son corps ramené à Constantinople est vénéré comme une relique. L'Église orthodoxe l'a canonisée.
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