IDDMPHILO
Publié le 22/05/2020
Extrait du document
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-La phrase de Socrate “Connais-toi toi-même” n’est pas exactement de lui, c’est une devise inscrite au frontispice du
Temple de Delphes que Socrate reprend à son compte.
Elle figure au panthéon des grandes phrases philosophiques.
-théorie platonicienne de la réminiscence.
Chacun, nous dit Socrate, dispose du savoir en lui-même, il suffit de se les
rappeler.
La connaissance est immanente à l’homme, et non extérieure.
La sagesse consister à apprendre à se
ressouvenir.
Se définir :
-Par l’opinion des autres , je peux avoir une idée de ce que je suis
-se regarder dans un miroir (regard=miroir de l’ame) , que ressent-on en présence de soi meme ?
-Par rapport aux souvenirs (nos émotions selon les circonstances)
-Bouddhistes : « nous sommes une simple conscience » = contenant dans lequel se produisent des idées , émotions ;
sensations
-Mes pensées se produisent avant que j’en prenne conscience
-conscience=sens inné de l’harmonie (ex :musique )
-« l’ignorance et l’aveuglement de soi-même font de l’homme un être dépendant et esclave des opinions
d’autrui »( socrate )
-il existe des choses hors de soi et je dois pouvoir les percevoir Cette notion remet obligatoirement en cause l’idée du
doute cartésien.
Selon Kant, la recherche de la connaissance passe donc par le monde extérieur, car si je doute du
monde extérieur, je ne peux pas avoir accès à moi-même : contrairement à Descartes, le sentiment d’exister
s’obtiendrait par l’expérience de notre environnement.
-rien n’influence plus un individu que son environnement psychologique et particulièrement dans le cas des enfants, la
vie que leurs parents auraient souhaité avoir (Jung).
-Hegel cherche à se retrouver lui-même et soutient le fait que l’art permettrait à l’Homme de se contempler à distance
grâce à son œuvre.
-la connaissance réside dans l’unique substance, à savoir les pensées et les idées ; le corps n’étant pour lui qu’illusion.
-Il est possible de se connaître soi-même, il existe pour cela diverses méthodes.
Mais ce n’est pas toujours le cas, et
l’intervention des autres est parfois nécessaire.
-La connaissance de soi est un type de conscience (cette dernière ayant plusieurs typologies : conscience individuelle
ou collective, morale ou réfléchie).
-on redevient enfant pour mieux apprendre ce qui nous semble être déjà appris.
On considère que tout ce que l’on a
appris est faux (doute hyperbolique), il faut donc construire tout raisonnement en incluant toutes les possibilités qu’a
un phénomène d’être réalisé.
Ici, il s’agît de connaître ce que l’on pense vraiment, sans « se raconter des histoires » :
tomber dans l’ignorance (qui est ici volontaire, mais dans d’autres cas peut être naïve, savante ou transcendantale).
-On ne peut se connaître soi-même sans connaître les autres.
Grâce à la lecture on peut accumuler plus de
connaissances et les utiliser pour une recherche, y compris philosophique.
-Ainsi, Platon pense que l’Homme est par nature altruiste : contrairement aux autres animaux c’est un « animal
politique », c'est-à-dire qu’il recherche du profit pour la société/nation, donc à long terme, ce qui s’oppose à la vision
libérale de l’Homme, qui lui prête des qualités comme la recherche du profit maximal, avec tout ce que cela implique
en termes d’humanité, et une prise de risque exagérée.
-l’apprentissage de soi nécessite de la volonté de la part de la personne mais aussi le feu vert de la société.
-allégorie de la caverne.
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