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Henri ou Henry.

Publié le 08/12/2021

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Henri ou Henry. nom de divers souverains.
ALLEMAGNE et EMPIRE GERMANIQUE.
Henri Ier l'Oiseleur,
vers 876-936, roi de Germanie de 919 à 936. Successeur de Conrad Ier , il fut le
fondateur de la dynastie saxonne des rois de Germanie. Il annexa la Lorraine et mena la
lutte contre les Slaves, les Bohémiens et les Hongrois. Il légua à son fils Otton le Grand
une Germanie déjà réorganisée.

Henri II le Saint
ou le Boiteux, 973-1024, né à Abbach (Bavière), duc de Bavière en 995, roi de
Germanie en 1002 et empereur du Saint-Empire romain germanique de 1014 à 1024.
Successeur de son cousin Otton III, il rétablit l'autorité impériale en Italie, mais ne
parvint pas à soumettre la Pologne. Très pieux, il fut canonisé au XIIe siècle.

Henri III le Noir,
1017-1056, roi de Germanie à partir de 1039 et empereur de 1046 à 1056. Luttant
sans cesse contre les grands féodaux, imposant l'ordre allemand en Italie où il déposa
trois papes, dont Grégoire VI, et en nomma quatre, il disposa de beaucoup de pouvoir,
mais vit son autorité contestée vers la fin de sa vie.

Henri IV le Grand,
vers 1050-1106, né à Goslar, roi de Germanie à partir de 1056 et empereur du Saint
Empire romain germanique de 1084 à 1105, fils d'Henri III. Pendant tout son règne,
Henri IV dut faire face à des révoltes violentes de ses féodaux. En 1075, il entra en
conflit avec le pape Grégoire VII, à propos de la « querelle des Investitures «, et fut
excommunié l'année suivante. Il entreprit son célèbre voyage d'expiation à Canossa en
1077 et son excommunication fut levée. Mais il ne renonça pas à lutter contre le pape,
qu'il parvint à chasser en 1080. Les successeurs de Grégoire VII soulevèrent contre lui
son fils Henri (le futur Henri V), qui le força à abdiquer.

Henri V le Jeune,
1081-1125, né à Goslar, devenu roi en 1106 et empereur en 1111, fils d'Henri IV. Il
poursuivit à l'égard des papes la politique de son père, avec plus de violence encore, et
fut excommunié. Abandonné par une partie de sa noblesse, il dut se résoudre au
compromis que représentait le concordat de Worms (1122).

Henri VI le Cruel
ou le Sévère, 1165-1197, né à Nimègue, empereur de 1190 à 1197, fils de Frédéric Ier
Barberousse. Il enleva la Sicile à Tancrède et son fils Guillaume III et retint Richard Coeur
de Lion prisonnier en Allemagne. Il rêvait d'édifier un empire héréditaire qui prît la relève,
en Méditerranée, de Byzance et voulait se libérer du couronnement impérial par le pape,
dans la lignée de la lutte qu'avait menée son père Frédéric Barberousse.

Henri VII,
vers 1269-1313, né peut-être à Valenciennes, comte de Luxembourg, empereur de
1308 à 1313. Il réunit en 1310 la Bohême à l'Empire.

ANGLETERRE.
Henry Ier Beauclerc,
1069-1135, né à Selby (Yorkshire), roi d'Angleterre de 1100 à 1135, quatrième fils de

Guillaume le Conquérant. Il s'empara de la couronne en l'absence de son frère Robert
Courteheuse parti à la croisade et, après l'avoir vaincu à Tinchebray (1106), le retint
prisonnier sa vie durant. Il conquit la Normandie et entreprit une importante oeuvre
législative.

Henry II,
1133-1189, né au Mans, roi d'Angleterre de 1154 à 1189, fils de Mathilde et de
Geoffroy V Plantagenêt, petit-fils par sa mère d'Henry Ier , il étendit son royaume tant
par des héritages et par son mariage avec Aliénor d'Aquitaine (tout l'ouest de la France)
que par des conquêtes (Écosse, pays de Galles, Irlande) et il renforça l'autorité royale
sur ses vassaux. Il organisa la justice (création du jury), l'administration et les finances.
Quand il essaya de diminuer l'autorité des tribunaux ecclésiastiques (constitutions de
Clarendon, 1164), il entra en conflit avec l'archevêque de Canterbury, Thomas Becket,
qui fut assassiné devant le maître-autel de sa cathédrale en 1170 ; Henry II dut, pour se
réconcilier avec la papauté, s'humilier devant les restes de son adversaire canonisé. Les
dernières années d'Henry II furent occupées par la lutte qu'il dut mener contre ses fils
(Richard Coeur de Lion et Jean sans Terre), encouragés à la fois par Aliénor d'Aquitaine
et par Louis VII.

Henry III,
1207-1272, né à Winchester, roi d'Angleterre de 1216 à 1272. Il suscita par ses
réformes financières de nombreuses révoltes de barons et dut accepter les « provisions
d'Oxford « (1258), ensemble de réformes politiques limitant son pouvoir. Il signa avec
Louis IX le traité de Paris par lequel il renonçait à la Normandie (1259), puis soutint une
lutte difficile contre la petite noblesse conduite par Simon de Montfort (1264-1265) qui,
après avoir un temps triomphé, fut tué en 1265.

Henry IV,
1367-1413, né à Bolingbroke (Lincolnshire), roi d'Angleterre de 1399 à 1413. Banni
d'Angleterre par Richard II, son cousin, il parvint l'année suivante à envahir l'île et à le
détrôner. Il fut le fondateur de la dynastie de Lancastre.

Henry V,
1387-1422, né à Monmouth, roi d'Angleterre de 1413 à 1422, fils d'Henry IV, à qui il
s'opposa de bonne heure. Henry V, profitant de la querelle en France des Armagnacs et
des Bourguignons, reprit la guerre de Cent Ans et écrasa l'armée française à Azincourt
en 1415. Il fut reconnu par le traité de Troyes en 1420 comme l'héritier du trône de
France au préjudice du dauphin Charles, le futur Charles VII, et, la même année, épousa
Catherine, princesse de France. À beaucoup d'égards, Henry V représentait l'idéal de la
chevalerie du Moyen Âge. Sa mort prématurée marqua un tournant dans la guerre de
Cent Ans.

Henry VI,
1421-1471, né à Windsor, roi d'Angleterre de 1422 à 1461 et en 1470 et 1471, fils
d'Henry V. Il fut également proclamé roi de France à la mort de Charles VI en 1422 et
sacré à Notre-Dame de Paris en 1431, mais, après l'intervention de Jeanne d'Arc,
l'Angleterre perdit toutes ses possessions françaises, à l'exception de Calais. Pendant les
années qui précédèrent la majorité d'Henry VI, les grandes familles s'étaient opposées
les unes aux autres pour s'emparer du pouvoir et, en 1455, éclata la guerre des DeuxRoses. Henry VI, qui était devenu fou, fut déposé par Édouard IV d'York et se réfugia en
Hollande. Après avoir repris la couronne en 1470, il fut emprisonné par Édouard IV à la
Tour de Londres et probablement assassiné.

Henry VII,
1457-1509, né au château de Pembroke, roi d'Angleterre de 1485 à 1509, premier roi
de la maison des Tudors. Chef de la maison de Lancastre par sa mère, il battit Richard III

à Bosworth en 1485 et mit fin à la guerre des Deux-Roses. Il restaura l'autorité royale
en épousant l'héritière du parti adverse, Élisabeth d'York. Il consolida la conquête de
l'Irlande et conclut la paix avec l'Écosse en 1499.

Henry VIII,
1491-1547, né à Greenwich, roi d'Angleterre de 1509 à 1547. Énergie, intelligence,
culture et goût pour l'art, caractère capricieux enclin au despotisme font de lui le type
même du prince de la Renaissance. Son règne fut marqué par la prospérité économique
et les débuts de la puissance maritime anglaise. Le pays de Galles fut rattaché à
l'Angleterre en 1535 ; les tentatives d'annexion de l'Écosse échouèrent. Mais c'est
surtout par sa politique religieuse, en partie dictée par des motifs d'ordre personnel,
qu'Henry VIII engagea l'avenir de son pays. En 1531, il rompit avec le pape, qui lui
refusait l'annulation de son mariage avec Catherine d'Aragon, sa première femme. Il se
déclara alors « unique et suprême chef de l'Église d'Angleterre « (acte de Suprématie,
1534). Les ordres religieux furent dissous et la spoliation des monastères enrichit la
couronne et la noblesse. La brutalité avec laquelle fut conduite cette politique provoqua
des remous. Le roi les réprima ; mais, inquiet des progrès du protestantisme en Europe,
il se montra ensuite plus modéré et se rapprocha du catholicisme. Henry VIII eut
successivement six épouses : Catherine d'Aragon, Anne Boleyn, Jane Seymour, Anne de
Clèves, Catherine Howard et Catherine Parr. Il fit périr sur l'échafaud Anne Boleyn et
Catherine Howard, accusées d'infidélité. De Catherine d'Aragon, il eut une fille, Marie Ire
Tudor ; d'Anne Boleyn, Élisabeth Ire ; de Jane Seymour, Édouard VI.

CASTILLE.
Henry Ier.
vers 1207-1217, roi de Castille de 1214 à 1217. Son court règne fut le théâtre de la
lutte pour la régence entre sa soeur Bérangère et les nobles.

Henri II le Magnifique,
1333-1379, né à Séville, comte de Trastamare, roi de Castille et de León de 1369 à
1379. Il dut à l'appui de Charles V de France et de Du Guesclin de reprendre un trône
disputé à son frère Pierre Ier le Cruel.

Henri III l'Infirme,
1379-1406, né à Burgos, roi de Castille et de León de 1390 à 1406. Il mena une
politique expansionniste et prépara l'avènement de la dynastie castillane en Aragon.

Henry IV l'Impuissant.
1425-1474, né à Valladolid, roi de Castille et de León de 1454 à 1474. Sur la pression
des Grands qui contestaient la légitimité de sa fille, il désigna sa soeur Isabelle, épouse de
Ferdinand d'Aragon, comme héritière du trône, préparant ainsi l'union de la Castille et de
l'Aragon.

FRANCE.
Henri Ier.
vers 1008-1060, fils de Robert le Pieux, roi de France de 1031 à 1060. Son règne fut
marqué par les soulèvements féodaux (maisons de Blois et de Normandie notamment)
et il dut céder à son frère Robert le duché de Bourgogne en 1032. Sous son règne,
l'Église promulgua la « trêve de Dieu « en vue de limiter les guerres féodales (1041).

Henri II,
1519-1559, né à Saint-Germain-en-Laye, roi de France de 1547 à 1559 ; fils de

François Ier , il épousa Catherine de Médicis. Sous l'influence de sa maîtresse, Diane de
Poitiers, du connétable de Montmorency et de la famille des Guise, Henri II persécuta les
protestants français, les huguenots, alors qu'il soutenait les protestants d'Allemagne afin
d'affaiblir les Habsbourg, ce qui lui valut d'acquérir en 1552 les évêchés de Metz, Toul et
Verdun. Il contribua à renforcer l'absolutisme royal, structura l'administration et organisa
le gouvernement. Il fut mortellement blessé dans un tournoi. Ses fils François, Charles
et Henri devinrent tour à tour rois de France, sous les noms de François II, Charles IX et
Henri III.

Henri III,
1551-1589, né à Fontainebleau, dernier roi de France de la famille des Valois. Troisième
fils d'Henri II et de Catherine de Médicis, Henri III était roi élu de Pologne depuis un an
lorsqu'il apprit la mort de son frère Charles IX, décédé le 30 mai 1574 sans postérité. Il
quitta Cracovie pendant la nuit, emportant les diamants de la couronne, faisant couper
les ponts derrière lui, et regagna la France par Vienne, Venise, la Lombardie, Lyon où il
s'attarda à des fêtes pendant deux mois. Il fut sacré à Reims le 13 février 1575 et
épousa Louise de Lorraine. Il tenta une politique de conciliation : la paix de Monsieur,
suivie de l'édit de Beaulieu (1576), accordait aux protestants l'admissibilité aux emplois
publics, la liberté du culte public, excepté à Paris, des chambres mi-parties dans les
parlements et huit places de sûreté. Aussitôt les catholiques créèrent la Sainte Ligue
dont le chef fut Henri de Guise, dit le Balafré, qui aspirait à la couronne de France.
Henri III dut alors reprendre la lutte contre les protestants. La guerre civile devint plus
âpre, à partir de 1584, à la mort du duc d'Alençon, quatrième et dernier fils d'Henri II. En
effet, cette mort faisait du huguenot Henri de Navarre l'héritier présomptif de la
couronne. La dernière des guerres de Religion, qui débuta alors, fut appelée guerre des
Trois Henri parce qu'elle avait pour chefs Henri III et Henri de Navarre, alliés contre Henri
de Guise. Lors de la journée des Barricades, en 1588, malgré l'interdiction du roi, Henri
de Guise vint à Paris, qui lui fit un accueil enthousiaste. Henri III dut fuir Paris et se
réfugier à Chartres. Il convoqua les états généraux à Blois, fit assassiner Henri de Guise
et son frère le cardinal de Lorraine (23 et 24 décembre 1588), puis, avec Henri de
Navarre, vint mettre le siège devant Paris ; mais la veille du jour fixé pour l'assaut, il fut
poignardé par un moine ligueur, Jacques Clément. Henri III fut longtemps représenté
comme un roi frivole, préférant la compagnie de ses « mignons « au gouvernement de
la France. C'était en fait un souverain conscient des problèmes du pays, désireux de
rendre sa grandeur à la monarchie et qui tenta de sauvegarder l'unité du royaume à
l'époque difficile des guerres de Religion. Il entreprit aussi une oeuvre importante de
législation, rassemblée par Brisson dans le code Henri III (1587).

Henri IV,
1553-1610, né à Pau, roi de France de 1589 à 1610, fils d'Antoine de Bourbon et de
Jeanne d'Albret, reine de Navarre. En 1572, à la mort de sa mère, il devient roi de
Navarre, puis, à la mort d'Henri III, roi de France sous le nom d'Henri IV. Avec son
accession au trône, la dynastie des Bourbons, issue du sixième fils de Saint Louis,
remplaça celle des Valois. Élevé dans la religion réformée, il fut un des chefs de l'armée
calviniste. La paix de Saint-Germain de 1570 décida, comme gage de réconciliation
entre catholiques et protestants, qu'il épouserait la soeur du roi Charles IX, Marguerite de
Valois ; le mariage eut lieu le 18 août 1572. Cependant, le 24 août, il n'échappa au
massacre de la Saint-Barthélemy qu'en abjurant la religion réformée. Mais, un peu plus
tard, il s'enfuit de la cour, rétracta son abjuration et reprit le commandement de l'armée
calviniste. Devenu roi, il dut conquérir son royaume, car la Sainte Ligue avait, après
l'assassinat d'Henri III, fait proclamer roi le cardinal de Bourbon (qui prit le nom de
Charles X) et avait fait appel à Philippe II, roi d'Espagne, pour l'aider dans sa lutte contre
Henri IV. Celui-ci abandonna le siège de Paris, entrepris de concert avec l'armée royale,
se retira en Normandie, infligea à la Ligue les défaites d'Arques, près de Dieppe
(21 septembre 1589), et d'Ivry, en Normandie (14 mars 1590), puis vint à nouveau
assiéger Paris ; mais l'arrivée d'une armée espagnole venue des Pays-Bas le détermina
à lever le siège une nouvelle fois. C'est alors que, pour mettre fin à la guerre qui se

prolongeait sans résultats décisifs et plongeait le pays dans la misère, ainsi que pour
déjouer les intrigues de Philippe II d'Espagne, qui voulait faire attribuer la couronne de
France à sa fille Isabelle, Henri IV se convertit au catholicisme, le 25 juillet 1593, et se fit
sacrer roi à Chartres. Sa conversion détacha de la Ligue plusieurs grands seigneurs ;
Paris lui ouvrit ses portes ; par des négociations, des promesses, de l'argent, il obtint le
ralliement des autres chefs de la Ligue et, le 13 avril 1598, promulgua l'édit de Nantes
qui mit fin aux guerres de Religion en autorisant le protestantisme. Dans le même
temps, il battait les Espagnols à Fontaine-Française, au nord de Dijon, leur reprenait
Amiens et les obligeait à signer la paix de Vervins (2 mai 1598). Henri IV s'employa alors
à restaurer l'autorité royale fortement ébranlée et à réparer les ruines accumulées au
cours des trente années de guerre civile. Usant de fermeté et de bienveillance, il imposa
peu à peu sa volonté et prépara les voies à l'absolutisme royal. Grâce à l'action de son
ministre Sully, les finances furent assainies, les routes, remises en état, le canal de
Briare, creusé, l'armée, réorganisée, l'intendance militaire, créée. Sur les conseils
d'Olivier de Serres, l'agriculture se modernisa et prit un grand essor. Sous la direction de
Laffemas, des industries nouvelles furent lancées (soieries) et le commerce se
développa. L'essai de colonisation tenté par Jacques Cartier au Canada fut repris :
Samuel Champlain explora le cours du Saint-Laurent et jeta les fondations de la ville de
Québec (1608). À l'extérieur, Henri IV obligea le duc de Savoie à lui céder la Bresse, le
Bugey, le Valromey et le pays de Gex ; fidèle à la politique d'affaiblissement des
Habsbourg, il soutint la cause de l'indépendance des Provinces-Unies et amena l'Espagne
à consentir une trêve de douze ans ; en Allemagne, il intervint dans le règlement de la
succession des duchés de Clèves et de Juliers et se préparait, semble-t-il, à la guerre
contre les Habsbourg lorsqu'il fut assassiné, à Paris, rue de la Ferronnerie, le 14 mai
1610, par un fanatique, Ravaillac. Il laissait pour successeur un fils de 9 ans, né de son
second mariage avec Marie de Médicis et qui devait régner sous le nom de Louis XIII.

Henri V,
1820-1883, né à Paris, prétendant au trône de France, fils posthume du duc de Berry ;
duc de Bordeaux, comte de Chambord, il prit, en 1843, le nom d'Henri V. Prétendant
des légitimistes, il fit échouer la restauration monarchique au début de la IIIe République
par sa méconnaissance du pays et son intransigeance sur le problème du drapeau blanc
(1873-1875). Il est le dernier représentant de la branche aînée des Bourbons.

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