Giuseppe Tartini (1692-1770)

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Giuseppe Tartini (1692-1770) Né en Istrie, premier violon à Saint-Antoine de Padoue et professeur de musique. Ce document contient 34 mots soit 0 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

TARTINI Giuseppe. Violoniste et compositeur italien. Né le 8 avril 1692 à Piran (Istrie), mort à Padoue le 26 février 1770. Son père, négociant florentin établi en Istrie, le fît instruire dans les écoles religieuses de Capodistria. On ne sait rien de certain sur sa prime jeunesse, sinon qu’entre 1708 et 1710 il était à Padoue où il faisait son droit; il y poursuivait aussi des études musicales malgré la désapprobation de sa famille. Tartini fut nommé en 1721 premier violon de l’orchestre de l’église Saint-Antoine à Padoue. En 1723, il fut l’invité du comte Kinsky à Prague. Il revint à Padoue en 1726 et y demeura pendant presque un demi-siècle consacré à une fervente activité musicale. Il fonda en 1727 une école de violon qui devint célèbre et lui valut le titre de « Maître des Nations » ; il composait, remplissait ses fonctions de maître de chapelle et s’adonnait à des recherches sur l’acoustique. Mais Tartini aspirait à une vie tranquille et refusa désormais toute invitation de l'étranger; il se montra fort généreux pour ses amis dans le besoin. Son œuvre a une place importante dans l’évolution de la musique instrumentale. Elle comprend environ cent quarante concertos, cinquante trios, cent cinquante sonates pour violon dont quelques-unes, comme la Trille du diable, sont célèbres. Un grand nombre de ses compositions est encore inédit. Son Traité de musique selon la vraie science de l’harmonie [1757] eut un grand retentissement en France au XVIIIe siècle.