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GISCARD D'ESTAING, ValÈry (nÈ le 2 fÈvrier 1926) PrÈsident de la RÈpublique (1974-1981) Parmi ses ascendants, on compte un sÈnateur, un ministre, un dÈputÈ.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : GISCARD D'ESTAING, ValÈry (nÈ le 2 fÈvrier 1926) PrÈsident de la RÈpublique (1974-1981) Parmi ses ascendants, on compte un sÈnateur, un ministre, un dÈputÈ. Ce document contient 421 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« GISCARD D’ESTAING, Valéry (né le 2 février 1926) Président de la République (1974-1981) Parmi ses ascendants, on compte un sénateur, un ministre, un député. Engagé volontaire dans la I re armée française, il participe à la campagne d’Allemagne.

Après Polytechnique et l’ENA, inspecteur des finances en 1954, il est directeur adjoint du cabinet d’ Edgar Faure , la même année. Depuis 1956, il est constamment réélu au siège de député du Puy-de-Dôme, auquel son grand-père ne se représentait pas.

Il fait partie de la délégation française aux XI e, XII e, XIII e sessions de l’Assemblée générale des Nations unies (1956-1958).

Entré dans le cabinet Debré en 1959 comme secrétaire d’Etat aux Finances, il accède au poste de ministre en 1962.

En 1963, devant les menaces d’inflation, il présente un “ plan de stabilisation ” qui réussit.

Lorsqu’il quitte pour deux ans, en 1966 , le ministère des Finances, il prend la présidence de la Fédération nationale des républicains indépendants.

Après la mort du président Pompidou , il se présente aux élections présidentielles de mai 1974.

Au premier tour, il obtient 8 255 101 voix (32,93 % des suffrages exprimés), contre 10 864 922 voix à François Mitterrand, et au deuxième tour il l’emporte de justesse avec 50,71 % des suffrages exprimés.

Dès le début de son septennat, malgré un climat difficile, aggravé par la crise mondiale de 1973, il entreprend un important programme de réformes sociales, rendues urgentes par le retard pris par la France dans ce domaine.

Tout en se heurtant à des résistances de différents côtés, il réussit néanmoins à imposer certaines de ces réformes — comme celles qui concernent le droit de vote à 18 ans , la protection de la femme et de l’enfant, la santé, l’amélioration du régime pénitentiaire et des conditions de vie des personnes du 3 e âge, la qualité de la vie, la protection de l’environnement, le développement des régions, la revalorisation de la condition militaire.

Son mandat sera marqué par la reconnaissance complète et l’exercice des droits et des responsabilités des femmes dans la société française.

En outre, il a mis à l’étude une importante réforme de la loi foncière et affirmé sa volonté d’aboutir à l’élection d’un parlement européen ainsi qu’à une solution dans le domaine de l’énergie nucléaire.

Mais il est battu par François Mitterrand aux élections de 1981. »

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