GÉRARD JUGNOT

« 1 / 2 GÉRARD JUGNOT NOTICE BIOGRAPHIQUE Comédien né à Paris, le 4 mai 1951.

Son histoire est liée à celle de ses amis pratique­ ment tous rencontrés au lycée (Christian Clavier, Thierry Lhermitte, Michel Blanc ...

), avec lesquels il créa le Splendid.

Charles Nemès étudia lui aussi au lycée de Neuilly mais aborda le cinéma par le biais du montage et devait par la suite diriger Jugnot dans UN BOL D'AIR présenté au Festival de Trouville en 1977 et dans deux longs métrages LES HÉROS N'ONT PAS FROID AUX OREILLES et LA FIANCÉE QUI VENAIT DU FROID.

Pendant longtemps, Gérard Jugnot joua de petits rôles dans de grands films." J'étais parti pour une carrière à la Raymond Bussières '» dit-il.

Puis ce fut l'explosion des BRONZÉS adapté de la pièce qu'il avait écrite, mise en scène et interprétée en collaboration selon les méthodes habituelles de la troupe.

Suite au succès de l'adaptation cinématographique, on leur demanda une suite, ce qui ne les enchanta guère.

Alors, pour se consoler, ils écrivent en parallèle " Le Père Noël est une ordure» qui devient un grand succès au Café-Théâtre.

Engagé par Moli­ naro pour un rôle plus important, dans POUR CENT BRIQUES TAS PLUS RIEN, Gérard Jugnot fait sa rentrée au Café-Théâtre en janvier 1982 dans son premier « One Man Show » : « Enfin seul ! ,, Le film de Jean-Marie Poiré et LE QUART D'HEURE AMÉRICAINqu'ilco-écritet interprète avec Anémone, consacrent sa réussite.

Gérard Jugnot réalise et interprète son premier film en 1984 : PINOT, SIMPLE FLIC.

A la télé­ vision, on a pu le voir dans " Mon Ami Pierrot ,, de François Leterrier en 1977 et « Le Fond du ciel » de Jean-Pierre Decourt, en 1980.

FILMOGRAPHIE 1973 L'AN 01 (Jacques Doil/rm) -SAU!T L'AR­ TISTE (Yves Robert).

1974 LES SUSPECTS (Michel Wyn) - LES VALSEUSES (Bertrand Blier).

1975 C'ESTPASPARCE UONN'ARIENA SE DIRE QU'IL FAUT FERM A GUEULE (Jacques Besnard) - QUE LA FETE COMMENCE (Bertrand Tavernier) - PAS DE PROBLEME (Georges Lautner) - UN BOL D'AIR (c.m.

Charles Nemès).

1976 CALMOS (Bertrand Blier) - OUBLIE­ MOI MANDOLINE (Michel Wyn) - LE JUGE ET L'ASSASSIN (Bertrand Taver­ nier) -lE LOCATAIRE (Roman Polanski) - ON AURA TOUT VU (Georges Lautner) - DRACULA PERE ET FILS (Édouard Mo!inaro) -MONSIEUR KLEIN (Joseph Losey) - LE JOUET (Francis Veber) -LE CHASSEUR DE CHEZ MAXIM' S (Claude Vital) - RETOUR EN FORCE (Jean-Marie Poid) @.

1977 TREIZE FEMMES POUR CASANOVA (Casanova and Co, François Legrand) - DES ENFANTS GATÉS (Bertrand Taver­ nier) - VOUS N'AUREZ PAS L'ALSACE ET LA LORRAINE (Coluche) -LA SEP­ TIÈME COMPAGNIE AU C"tAiir'DE L1lJ::IJ;.

(Robert Lamoureux).

1978 PAULINE ET L'ORDINATEUR (Francis Fehr) -LES PETITS CALINS (Jean­ Marie Poiré) - LA COCCINELLE A MONTE-CARLO (Herbie goes to Monte­ Carlo, Vincent Mc Eveety) - SI VOUS N'AIMEZ PAS ÇA, N'EN DÉGOUTEZ PAS LES AUTRES (Raymond Lewin) - LES BRONZÉS (Patrice Leconte).

1979 LES HEROS NONT PAS FROID AUX OREILLES (Charles Nemès) - UN SI JOLI VILLAGE (Etienne Périe~ COUP DE SIROCCO (Alexandre Arcady) - LES BRONZES FONT DU SKI (Patrice Leconte).

@ 1980 LE COUP DU PARAPLUIE (Gérard Oury) - LES CHARLOTS CONTRE DRACULA (Jean-Paul Desagnat).

1981 POURQUOI PAS NOUS? (Michel Berny).

1982 POUR CENT BRIQUES TAS PLUS RIEN (Édouard Molinaro) © - LE PÈRE NOEL EST UNE ORDURE (Jean-Mane ~ Poiré) -LE QUAR1 b'filDRE AMÉRI- ~ CAIN (Philippe Galland).

~ 1983 LA FIANCEE QUI VENAIT DU FROID ·~ (Charles Nemès) - PAPY FAIT DE LA --' RÉSISTANCE (Jean-Marie Poiré).

"' 1984 LE GARDE DU CORPS (François Leter- ~ rier).

@-PINOT, SIMPLE FLIC (Gérard .§ Jugnot).

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