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George Ier1660-1727Fils de l'électeur Ernest Auguste et de Sophie, petite-fille de Jacques Ier d'Angleterre, Georgese distingua comme soldat et prit part à la délivrance de Vienne par Sobieski en 1683 et à labataille de Nerwinden (1693).

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : George Ier1660-1727Fils de l'électeur Ernest Auguste et de Sophie, petite-fille de Jacques Ier d'Angleterre, Georgese distingua comme soldat et prit part à la délivrance de Vienne par Sobieski en 1683 et à labataille de Nerwinden (1693). Ce document contient 271 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

« George Ier 1660-1727 Fils de l'électeur Ernest Auguste et de Sophie, petite-fille de Jacques Ier d'Angleterre, George se distingua comme soldat et prit part à la délivrance de Vienne par Sobieski en 1683 et à la bataille de Nerwinden (1693).

En 1701, il se joignit à la Grande Alliance, se lia d'amitié avec Marlborough et, en 1707-1709, commanda l'armée impériale sur le Rhin supérieur.

Bien qu'il fût mis sur les rangs par sa mère pour occuper le trône d'Angleterre, il refusa de prendre une part active aux affaires anglaises jusqu'à son accession au trône (1714) ; en revanche, il se consacra aux affaires allemandes et devint duc de Kalenberg en 1698, duc de Lüneburg en 1705 et électeur de Branswick-Lüneburg en 1708.

A son arrivée en Angleterre il prit le contre-pied de la politique de la reine Anne à laquelle il succédait, nomma un ministère whig en remplacement de son ministère tory chercha à s'intéresser aux affaires de l'Europe et favorisa les membres de la basse Église (étant lui-même luthérien), en opposition avec les tendances anglicanes de la reine.

Malgré plusieurs tentatives jacobites pour le chasser (révolte de l'Écosse en 1715, conjuration d'Atterbury en 1720 et intrigues de Charles XII et d'Alberoni, que George déjoua facilement) et bien qu'il n'eut jamais été populaire en Angleterre, il n'eut guère de peine à se maintenir sur le trône.

Il préférait toutefois le Hanovre à l'Angleterre et il passait la moitié de l'année dans son électorat, laissant la régence à son fils et la conduite des affaires entre les mains de Stanhope d'abord, puis plus tard de Walpole.

Il mourut d'apoplexie à Osnabrück en 1727.. »

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