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gabriel peri

Publié le 08/12/2021

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Paul Éluard est un poète français du 20me siècle. Il a beaucoup écrit pendant la deuxième guerre mondiale. Ses poèmes, de l’époque de la résistance, décrivaient ce qui se passait aux français pendant le contrôle et l'oppression des allemands. 
Cependant, ses poèmes sont pour la plupart optimiste et encourageant
Il prend les exemples de ce qui se passe autour de lui  et dit au peuple  de lutter contre les injustices de l'occupation.
Son poème « Gabriel Péri » pris du recueille « Au rendez-vous allemand  est aussi intitulé «un homme est mort». Il fut écrit en 1944. 


Le titre du poème soi-même est significatif du sujet du poème. Il est très simple : le nom d'un homme seulement. Mais pendant la guerre, ce nom aurait eu de signification pour un français, surtout un résistant. 
Gabriel Péri était journaliste et très actif dans la partie communiste. Il était arrêté et fusillé par les Nazis après le commencement de l'occupation en 1941. Donc les résistants avec qui Éluard voulait communiquer auraient reconnu ce nom, et ils auraient associé le poème avec les idéals que Péri représentait. Il y aussi un jeu sur son nom ; Gabriel Péri a péri ; Gabriel Péri était mort. Bien sûr, la façon de mort, que les résistants auraient associé avec la gloire et la lutte contre le mal, aurait été quelque chose d'admirable. Il devient dans ce poème un peu comme un martyr pour sa cause.

 La première strophe : introduit le lecteur à Gabriel, pas par son nom, mais par les descriptions. 
Éluard utilise dans cette strophe l’anaphore «Un homme est mort» pour commencer chaque pair de vers. Ça indique l'importance de ce fait horrible, que cet homme a maintenant disparu. Trois fois en six vers, il répète cette anaphore, et les premières deux fois, la phrase est suivie par un négatif. Le poète  utilise ces phrases négatives pour informer le lecteur des choses que Péri avait et pour lesquelles il est mort, et des choses positives que tout le monde admire. 
La troisième fois qu'il répète la mort de Péri, il finit la phrase d'une façon différente au deux dernière.
 Péri «continue la lutte»
Cette phrase est dans la forme affirmative. Elle montre que Péri «Lutte contre la mort contre l’oubli». Elle introduit des choses plus négatives dans le deuxième vers du pair au lieu de quelque chose de positif qu'il a déjà. Ce système d'opposition et de contraste dans cette strophe fait rappeler les caractéristiques positives associées avec Péri et la lutte dans laquelle il ne peut plus participer directement, et on commence à penser de Péri avec la pitié et l'admiration.

Les rimes de cette strophe aident aussi à lier les mots et phrases importantes de ce poème. " Vie " dans le deuxième vers et " oubli " dans le sixième vers. 
Ces deux mots décrivent deux choses complètement opposé 
La vie est associée avec la bonté, l'espoir et la mémoire
Pendant que l'oubli est associé avec la mort. 
Les idées de ces  vers sont aussi liées 
 L’idée dans le deuxième vers est d'être ouvert à la vie
 Et celui de la sixième strophe qui finit l'idée de combattre la mort et l'oubli.
 «Route» à la fin du troisième vers aussi rime avec « lutte »à la fin du cinquième vers. 
La liaison entre ces deux mots est très importante à cause du message d'optimisme et de résistance qu’Éluard veut communiquer. Il veut encourager le lecteur de suivre la même route que Péri, de combattre l'injustice et l'oppression allemand.
 


Dans la deuxième strophe, Éluard fait un appel à tous qui veulent être comme Péri ; libre, indépendant, sur de soi-même, et assez courageux pour s'exprimer. 
La répétition du verbe vouloir confirme  cette intention. 
Le deuxième et troisième vers utilisent la répétition de presque la même phrase  ce n’est juste que le temps de verbe qui change pour indiquer la duration du vouloir «Nous le voulions aussi / Nous le voulons aujourd'hui ». 
 Cet effet devient plus fort à cause de la rime et la répétition de sons similaires entre « aussi » et «aujourd'hui». 
 Les quatrième, cinquième, et sixième vers de cette strophe renforce les idées positives de l'idéel vers laquelle Péri travaillait. Il décrit le bonheur et  la justice sur la terre.
Cette référence à la justice fait même penser de  Libérté, Égalité, Fraternité, qui sont l'idéal du gouvernement et du peuple de la France. Éluard veut affecter le lecteur émotionnellement pour le convaincre de ses idées résistantes. Il fait référence à la sentimentalité-" la lumière / Au fond des yeux su fond du cœur. " Le cœur est associé avec l'amour, l'amitié et la générosité, et les yeux, avec l'esprit ou l'essence d'une personne. Toutes ces choses sont des aspects émotionnels mais admirés, et c'est une grande partie de ce que le lecteur tiendra enfin de cette strophe et du poème dans sa totalité. Dans ces trois vers, la rime entre " lumière " et " terre " lie de plus les idées exprimées ici. La liaison entre ces mots suggère aussi l'espoir qu'il y a du bon (la lumière) dans ce monde (la terre) qui peut encore lutter contre tout. L'espoir sera donc une autre émotion que le lecteur tiendra avec soi.

 La troisième strophe devient une liste de tout-ce qu'on voudrait et tout-ce qui est valable dans le monde social des hommes. Il introduit chaque mot, les donnant chacun presque un titre de " le mot. " Chaque vers devient plus long que celui qui précède. Éluard lie les introductions des mots qui sont dans le même vers avec " et " après les premiers deux, et les mots deviennent plus longs. Ces aspects de longueur et de répétition montent la tension dans cette strophe, qui est déjà plus long que les autres à cause de sa forme comme liste. Cette tension est agrandie même plus par le manque de ponctuation partout dans ce poème, même dans les strophes précédentes, jusqu'à la fin du poème.

Dans le cinquième vers de la fin, le vers et tout d'un coup plus court : «Ajoutons-y Péri».
 On ajoute à cela qu'on trouve la première rime des vers entre ce vers et celui qui le précède, entre " amis " et " Péri. " Il est assez important que ces deux mots soient ceux qui riment, pas seulement à cause de leurs positions dans le poème, mais aussi parce qu'ils vont bien ensemble. Éluard veut que le lecteur finisse de  lire le poème avec l'impression distincte que non seulement était Péri quelqu'un d'admirable, il était aussi un ami, quelqu'un qui a battu pour les mêmes idéologies que soi. N'importe quel résistant de l'époque serait bien heureux d'avoir un ami comme Péri, et on lui aurait donné ce titre sans problème. Souvent les résistants pouvaient et même devaient faire référence à l'un l'autre comme amis très justement, parce qu'ils étaient tous unifiés idéologiquement. Mais il est plus important que ce vers est si court en comparaison avec celui qui le précède. Ça laisse rester la tension autour du lecteur, et le laisse penser de ce que le poème vient de dire.

Les derniers quatre vers, encore partis de la troisième strophe, réintroduisent les idées les plus importants du poème. Péri est admiré dans sa mort comme héros pour avoir lutté pour ses idées trop indépendantes.  On l'aime, et on le considère comme ami dans la mort «Tutoyons-le» .  Mais en regardant son histoire, un résistant (ou bien quelqu'un qui n'est pas résistant, ou même quelqu'un qui n'était pas dans la guerre) peut se connaître mieux. Éluard veut que le lecteur se regarde pour voir s'il agit vraiment d'après ses croyances, et même si ces croyances sont vraiment ce qu'on pense. Il vient de mentionner tous les idéels humaine qu'on entend toujours, mais à son temps, pas tout le monde les suivi fortement. On pouvait enfin faire ce qu'on voulait, et pas tout le monde avait le courage de lutter pour l'idéel. Ce poème, sans accuser, fait penser si on vivait vraiment d'après ses idéels. À cause de Péri, " nous nous connaissons mieux. " Éluard lui-même est compris dans ce vers ; lui, aussi, il prend quelque chose aussi profonde de cette mort qu'il veut que le lecteur prenne. Et Éluard encourage aussi le lecteur de s'unifier avec les autres, pour apprécier ce qu'on a et pour continuer la lutte de Péri contre l'oppression-dans ce cas, celui des allemands, même s'il ne le dit pas dans le poème-et vers les idéels de Péri. Ces derniers quatre vers sont un peu comme la morale du poème, en suggérant au lecteur ce qu'il doit penser de l'histoire de Péri.

 Dans son poème " Gabriel Péri, " Éluard prend l'exemple d'un homme, tué par les Nazis pour ses croyances et pour son refus de les abandonner pour être collaborateur, pour encourager les résistants de lutter contre l'oppression des allemands. Gabriel Péri, il suggère, était assez courageux pour lutter ; n'importe qui d'autre peut, donc, aussi, et doit, pour continuer la lutte d'un homme qui ne peut plus continuer la lutte sauf par l'inspiration des autres.
























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