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Fièvre

Publié le 16/05/2020

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« 1 / 2 Fievre 1 La temperature d'un individu en bonne sante se main- tient entre d'etroltes !Mines malgre ('exposition a des environnements physiquesextremes ou l'accomplisse- ment d'un travailmusculaire prolong& L'etre humain partage cette particularite avec la plupart des mammi- fibres.

Or, rune des caracteristiques remarquables dans le cas d'un grand nombre de maladies est Ia perturba- tion de cet equilibre thermique :lorsque Iamaladie s'accompagne d'une elevation de la temperature au-dela de la normale, c'est Ia fievre.

IIs'agit d'un indice telle- ment fidele et a ce point reproductible de Mat patho- logique que la thermometrie medicale, en depit de son extreme simplicite technique, est le procede cllnique Is plus communement utilise. 2 Les cellules des tissus tirent leur energie des aliments pulses dans le sang par les processus complexes de l'oxydatIon biologique, particulierement importants dans les muscles et dans le foie.

L'extraction d'energie n'est pas de 100 p.

100 ; une quantite appreciable est restituee sous forme de chaleur.

Cette chaleur d'origine metabo- lique dolt etre constamment eliminee sous peine d'aug- menter la temperature des tissus jusqu'a des niveaux incompatibles avec la vie.

L'Olimination de la chaleur se fait par irradiation, par convection, et plus encore par evaporation (sudation).

La regulation de la temperature corporelle est gouvernee par des centres nerveux situes dans ('hypothalamus ; en fonctiondeIatemperature ambiante, ils accelereront la deperdition de calories ou bien declencheront des mecanismes de lutte contre le froid :augmentation de ractivite musculaire ou vaso- constriction peripherique. 3 Malgre quelques variations d'un individu a l'autre, est admis comme signe de fievre une temperature orale sup& rieure a 37 °C pour une personne couchee et de 37,3 °C pour une personne se Iivrant a une activiteralentie.

Fièvre 1 La température d'un individu en bonne santé se main­ tient entre d'étroites limites malgré l'exposition à des environnements physiques extrêmes ou l'accomplisse­ ment d'un travail musculaire prolongé.

L'être humain partage cette particularité avec la plupart des mammi­ fères. Or, l'une des caractéristiques remarquables dans le cas d'un grand nombre de maladies est la perturba­ tion de cet équilibre thermique : lorsque ta maladie s'accompagne d'une élévation de la température au-delà de la normale, c'est la fièvre.

Il s'agit d'un indice telle­ ment fidèle et à ce point reproductible de l'état patho­ logique que la thermométrie médicale, en dépit de son extrême simplicité technique, est le procédé clinique le plus communément utilisé.

2 Les cellules des tissus tirent leur énergie des aliments puisés dans le sang par les processus complexes de l'oxydation biologique, particulièrement importants dans les muscles et dans le foie.

L'extraction d'énergie n'est pas de 100 p.

100 ; une quantité appréciable est restituée sous forme de chaleur. Cette chaleur d'origine métabo­ lique doit être constamment éliminée sous peine d'aug­ menter la température des tissus jusqu'à des niveaux incompatibles avec la vie.

L'élimination de la chaleur se fait par irradiation, par convection, et plus encore par évaporation (sudation).

La régulation de la température corporelle est gouvernée par des centres nerveux situés dans l'hypothalamus ; en fonction de la température ambiante, ils accéléreront la déperdition de calories ou bien déclencheront des mécanismes de lutte contre le froid : augmentation de l'activité musculaire ou vaso­ constriction périphérique.

3 Malgré quelques variations d'un individu à l'autre, est admis comme signe de fièvre une température orale supé­ rieure à 37 °C pour une personne couchée et de 37,3 °C pour une personne se livrant à une activité ralentie. 2 / 2. »

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