Faut-il écouter les fous ?

« Faut-il écouter les fous ? « Si vous voulez savoir la vérité, écoutez les fous », voici un proverbe populaire qui nous poussent à nous demander s’il faut écouter les fous.

Mais d’abord qui sont les fous ? la première définition auquel l’on pourrait penser serai les personnes ayant des troubles mentaux comme les schizophrènes, les personnes atteintes de trouble bipolaire ou dissociatifs, ce sont les personnes qu’on ne comprends pas qui nous paraisse bizarres ou folles ou complètement inconscientes. Le verbe écouter désigne la volonté d’entendre les dires d’autrui, ou le fait d’accepter ce que la personne en face à dire comme lorsque que l’on écoute un conseil, on le prend en compte.

Ainsi si l’on écoute les fous, alors comment être sûr que ce qu’ils disent ne sont pas que hallucinations et psychose, et que ce ne sont pas juste des êtres dangereux qui pourrais faire du mal à autrui mais aussi à eux-mêmes.

Mais si l’on décide de ne pas écouter les fous, ça serait stigmatisé ces personnes car les fous sont aussi ceux qui ne rentrent pas dans les normes sociales, de plus cela créerait un manque de pluralité.

Ainsi on se demandes Si l’incompréhension face à autrui est une raison valable de ne pas écouter une partie de la population ? Nous allons donc tenter de répondre au problème en décrivant en quoi le fou est un être dangereux et irresponsable qui ne possède pas la raison mais qui est surtout une personne qui ne rentre pas dans les normes sociales. D’une part on pourrait dire que le fou est dangereux et irresponsable, on ne peut donc pas en partie l’écouter ou lui faire confiance. C’est le cas des personne atteints de trouble psychiatrique.

Ces personnes sont sujet à des hallucinations, des psychoses, des crises, des changements d’humeurs soudain sans raison apparente, une perception de la réalité perturbée.

Ce genre de psychose peuvent s’avérer très dangereuse autant pour les personnes extérieures que pour la personne.

A titre d’exemple on peut parler du cannibale des Pyrénées un homme atteints de syndrome de stress post traumatique qui a viré a des troubles paranoïaques.

Ainsi, lors d’un délire paranoïde durant lequel il a pratiqué un acte de cannibalisme sur un nonagénaire puis agressé un autre homme à Nouilhan dans la journée du 14 novembre 2013.

Après son arrestation il affirmera aux gendarmes qu’il a « obéi à un message d'origine supérieure ». La folie morale, est la perversion des sentiments naturels, des affections, inclinaisons, humeurs, habitudes, dispositions morales et impulsions naturelles sans trouble ni déficit marqué de l'intellect ou des facultés de connaissance et de raisonnement.

La folie morale entraine souvent un manque de discernement du bien ou du mal.

C’est ce qu’on peut désigner comme « prise de folie ».

Pars exemple lorsqu’un individu entrainé par ses sentiments commet un meurtre, on dira qu’il aura été « pris de folie ». Pour revenir aux troubles mentaux, ces personnes étant donné leurs perceptions de la réalité faussé, de leurs hallucinations, ne sont pas responsable,. »