Databac

Explication linéaire, Apollinaire, Alcools, "Zone"

Publié le 29/04/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Explication linéaire, Apollinaire, Alcools, "Zone". Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.
Introduction : Guillaume Apollinaire est le poète qui représente la modernité poétique du début du 20ème siècle à Paris, de nombreux artistes comme lui sont en quête de nouveauté et cherche a crée une esthétique proche de la modernité technique et urbaine. En supprimant la ponctuation ou en fessant entrer des thème nouveau il renouvelle la création poétique, Alcools publié en 1913 est le recueille le plus marquant d’Apollinaire et du 20ème siècle car il se situe entre tradition et modernité. Placé en tête du recueille ''Alcools'' le poème ''Zone'' est en réalité le dernier poème écrit par Apollinaire avant la publication, ce poème luminaire est un choix fait par Apollinaire. ''Zone'' sera le texte par lequel le poète vas changer la poésie il le fera a travers les thèmes et a travers la forme. ''Zone'' est sans ponctuation, sans régularité de rimes ou de mètre, le titre du poème est porteur de sens car en marge du recueille ce poème renvoi au quotidien urbain, moderne. Nous pouvons nous demander en quoi le poème ''Zone'' est un poème moderne. Nous verrons dans un premiers mouvements qui vas du vers 1 à 10, la revendication de la modernité puis dans un deuxième mouvements vers 11 à 14 la poésie dans la ville et enfin dans un troisième mouvements vers 15 à 24 la ville poétisés. Premier mouvements vers 1 à 10, La revendication de la modernité La scansion du premier vers peut donner 11 ou 12 syllabe, selon qu'on choisisse ou non la diérèse sur le mit ancien. Le poète des le premier vers se place dans une forme ambiguë, laissant au lecteur le choix de l’alexandrin ou non. L'usage de l'alexandrin qui remonte a l'antiquité est paradoxale car le poète ouvre son poème et son recueille sur la lassitude du monde ancien. Apollinaire ici montre une forme d'ironie, renforcer par les premier mots du poème ''A la fin'' au vers 1. Il faut le prendre comme l'aboutissement d'une réflexion mené par Apollinaire depuis longtemps. Il ne faut pas oublier que le poème « Zone » même si il est situé tout au début du recueille est enfaîte le dernier poème écrit par l'auteur. Au deuxième vers le paradoxe se poursuit, pourtant le vers 2 s'ouvre sur un personnage ancien ''la bergère'' qui est l’héroïne des roman pastoraux du 17ème siècle. Le terme de la bergère est ici en opposition et en apposition avec la tour Eiffel Apposition : l'un a cote de l'autre mais ces deux terme sont aussi en opposition car la bergère représente le monde ancien et la tour Eiffel représente le monde moderne, elle venait d’être construite pour l’exposition universel (1889). Cette tour Eiffel est assimilez a la bergère qui domine les troupeau elle domine les ponts de Paris On observe ici une alternance régulière entre élément ancien et élément nouveau et moderne.

« Texte 10 du BAC Explication linéaire : Apollinaire, Alcools, ''Zone'' (1913) À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l’air d’être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation Seul en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme L’Européen le plus moderne c’est vous Pape Pie X Et toi que les fenêtres observent la honte te retient D’entrer dans une église et de t’y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut [ 8 ] Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi Les inscriptions des enseignes et des murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J’aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ternes Mouvements du textes Mouvements du vers 1 à 10 Mouvements du vers 11 à 14 Mouvements du vers 15 à 24 Problématiques : En quoi pouvons-nous dire que le poème ''Zone'' appartient a ce qu’Apollinaire appelle la modernité poétique ?. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles