explication de texte: Vassily Kandinsky in « du spirituel dans l’art ».

« Ce texte est écrit pas Vassily Kandinsky, peintre et philosophe de 20 e siècle, il provient « du spirituel dans l’art ».

Il nous rapporte à un thème étudié en classe comme l’art.

il nous parle de l’art dans l’âme.

Il dégage l’idée que l’âme étant en règle général étroitement liée au corps », c’est-à-dire que l’amé qu’il nous présente dans ce texte, est ici relié aux émotions psychiques, c’est notre corps qui le contrôle. Le texte est construit d’une certaine forme, de la ligne 1 à 7, jusqu’à « action pénible », l’auteur nous parle de la couleur rouge, cette couleur peut « provoquer une vibration », elle est comparée à, une flamme et est existante qui peut être douloureuse ou pénible et elle est comme le sang qui coule.

Elle e « éveille le souvenir » qui agit sur l’amé quelque chose d’ennuyant.

De la ligne 9 « on pourrait » à « être retenue », il parle de la couleur jaune comme la couleur rouge, Vassily dit que le jaune est acide(l10) qu’il compare au citron.

A la ligne 14 à19 jusqu’à « cordes », il relève que les couleurs comme le bleu, avait un gout de sauce.

Et de la ligne 20 à la fin, il nous explique que les couleurs peuvent s’entendre et qu’il y a des nuances entre chaud et froid.

Suite à ça, l’auteur se demande comment les 5 sens mis en évidence dans le texte se rapporte à l’âme.

On va donc séparer le texte de manière à visualiser les 5 sens dans le texte, comment il fait le rapprochement entre les couleurs et ceux-ci. L’âme et le corps sont en relation, une émotion psychique en provoque une autre en relation avec une émotion psychique par association, par exemple la couleur rouge provoque une vibration de l’âme identique à celle que procure une flamme donc on peut soulever un lien entre les deux. Le rouge chaud excite, il dit même qu’elle peut être douloureuse et pénible, on voit qu’il utilise des adjectifs pour définir cette couleur, cela est une sensation.

Elle rappelle le sang qui coule donc cette couleur révèle un agent physique exerçant sur l’âme une action pénible d’où l’association.

Selon lui, la couleur rouge est une couleur qui se définit comme quelque chose de négatif pour l’âme et pour le corps puisqu’ils sont associés.

Il associe le rouge à la flamme grâce à la couleur quelle dégage, parfois on dit qu’il y a une flamme dans un couple, ce qui fait référence à l’amour qu’ils ressentent entre eux.

Il émet des hypothèses en disant « peut- être » car il n’est pas sûr de ce qu’il dit ou si ce qu’il dit est que ce que Kandinsky pense, c’est- à-dire qu’il n’en fait pas une globalité.

Elle met en évidence un agent physique qui est l’œil, mais aussi sur d’autre sens. Quant à la couleur jaune, il lui donne beaucoup adjectif comme à la couleur rouge, il dit qu’elle est « acide » compare au citron, dans ce passage il fait référence au sens du gout.

Mais il ne veut pas l’accepter, car il pense cela impossible à penser du fait qu’une couleur ai un gout.

Il prend l’exemple d’un médecin de Dresde, qui pense que seule une personne avec une « intelligence très supérieure » peut penser ça.

Un jour, ce médecin rencontra un paient qui dit que la couleur bleue avait un gout de sauce.

Ce que dit l’auteur ici, est que le phénomène, qui est la synesthésie est perçue que par es personnes intelligentes, clairement. Cela fait référence, à une sorte d’écho comme il dit dans le passage de la ligne 15 et de résonnance, comme à la se produit avec les instruments de musique, cordes ébranlées par le son d’un autre instrument, le violon.

Il met en évidence le fait qu’il n’y a pas que l’œil ou bien le gout mais aussi le toucher, il dit que les couleurs peuvent avoir un « aspect rugueux, épineux » il donne encore une fois. »