Etude linéaire princesse de Clèves: « Sitôt que la nuit fut venue »

« Présentation d’une étude linéaire : « La Princesse de Clèves 3 » Le texte commence par la 1ère phrase avec La proposition subordonnée circonstancielle de temps « Sitôt que la nuit fut venue » qui nous indique que l’action fut rapide et furtive car le gentilhomme qui est chargé d’espionner le Duc. Puis, l’adverbe aisément nous précise l’habilité de l’espion. Dans la phrase 2, les indices de lieux « jardins », « lieu » nous indique que c’est un lieu qui est naturel et propice à l’amour. Puis l’adverbe « aisément » est attribué cette fois ci au Duc qui cherche un chemin pour voir la Princesse. Dans la 3eme phrase, le champ lexical de l’obstruction « palissades », « fort haut », « encore derrière », « qu’on ne pût entrer », « difficile », « se faire passage », ces termes qui indiquent des obstacles contredise la facilité espérée par le Duc. Dans la phrase 4, l’adverbe d’opposition, « néanmoins » montre que le Duc est un homme fort et vaillant ayant surmonté tous les obstacles. Ensuite, la négation « il n’eut pas de peine » accentue l’agilité du duc. Dans la 5eme phrase, le champ lexical de la luminosité « beaucoup de lumière », « toutes les fenêtres en étaient ouvertes », indique que contrairement a la pénombre de l’extérieurs, l’intérieur de la maison est bien illuminé. Puis, les 3 proposition juxtaposées séparées par « deux points » et une « virgule » nous donnent un effet d’action qui s’enchaînent et qui suit la vision du duc. Dans la phrase 6, la proposition subordonnée relative « qui servaient de porte » précise la taille de la fenêtre, ainsi que la vision intégrale de ce qui se passe dans la chambre car le duc est caché derrière l’une d’entre elles. Dans la phrase 7, la répétition « il vit » insiste sur le voyeurisme du Duc. La conjonction de subordination « Si que » explique les conséquences de la vision de cette beauté, le duc perd presque tous ses moyens face à la beauté de la princesse. Dans la 8eme phrase, le champ lexical du corps « sa tête », « sa gorge », « ses cheveux » nous permet de suivre le regard du duc sur la princesse. Ainsi que la négation « n’avait rien que » est une vision érotique et sensuelle de la jeune femme. Dans la 9eme phrase, les 3 propositions juxtaposées séparée par des « points virgules » et des « virgules » nous indique le regard du Duc qui suit toutes les actions de la princesse. Puis le champ lexical du mobilier « lit », « table », « corbeille » invite le lecteur dans l’intimité de la chambre de la princesse.. »