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Etude linéaire Peau de Chagrin

Publié le 16/05/2025

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« Étude linéaire 10 : extrait 1 la peau de chagrin De Balzac Balzac publie la peau de chagrin en 1831 il développe un thème central chez lui virgule le désir destructeur.

Mêlant, réalisme, fantastique, science, orientalisme et peinture de la société parisienne la peau de chagrin remporte un succès immédiat et confirme la gloire littéraire de Balzac.

Le roman s'ouvre sur la description d'une maison de jeux située au PalaisRoyal en 1830.

On découvre un personnage dont on ne sait rien : il s'agit ici du premier portrait de celui qui sera le personnage principal Raphaël de Valentin. Problématique : Comment le romancier construit il le portrait d'un personnage principal énigmatique ? Premier mouvement : ligne un à 7 Le portrait d'un être mystérieux est tourmenté 2e mouvement ligne 8 à 23 une apparence qui résiste à l'interprétation 3e mouvement ligne 24 à 40 un basculement dans le vice premier mouvement : le portrait d'un être mystérieux et tourmenté Le personnage principal est perçu à partir d'un point vue externe des joueurs du tripot Le complément circonstanciel de manière « premier coup d'œil » associé au sujet « joueur » Signal que c'est de vue privilégié pour décrire le personnage énigmatique comme les termes « mystères » ligne 2 et « secret » ligne 7. : celui au le point l'atteste La description physique et morale s'organise à partir à partir du lien entre le physique d'un individu et son caractère.

Le détail du portrait physique : « visage »,« les traits », « le front », « le sourire », « les plis », et « la bouche ».

Il coïncide avec des traits de caractère supposé et un état émotionnel prédit dont il serait les indices visuels. Les verbes : « lurent », « Était emprunt », « attestait », « dessinait », « exprimait », traduisent Que le corps parle et révèle l'intériorité du personnage.

C'est un portrait oral qui se dessine avec les traits du visage « des efforts » l.3, « Les espérances trompées » l.3-4, « la résignation » l.7, « la morne impassibilité » l.4.

Le lexique de l'intériorité documenter permet de rattacher le personnage.

Il est jeune on dit qu'il est « novice » l1, « ses jeunes traits » l1, on parle de sa « grâce » l .3.

Il est aussi idéaliste car on peut constater le mot « espérance » l.3-4.

Mais il est malmené déçu par son époque : « les efforts trahis » l.3.

On parle ligne 5 « d'une pâleur mate et maladive » ce mal-être est le reflet du mal du siècle dont il subit. 2e mouvement ligne 8 à 23 une apparence qui résiste à l'interprétation 3 interprétations au mal-être apparent du jeune homme sont suggérées : -la pâleur maladive peut être le résultat d'une vie de débauche de fait et des plaisirs de la chair à la ligne 8 la proposition interrogative directe « peut-être par les fatigues du plaisir « .

On apprendra plus tard dans le roman que Raphaël a passé les dernières semaines à s'adonner au libertinage en compagnie de son ami Rastignac. -il peut s'agir des symptômes d'une maladie physique une pathologie du cœur ou des poumons : le diagnostic des médecins « les médecins auraient sans doute attribué à des lésions au cœur ou à la poitrine le cercle jaune qui encadrait les paupières est la rougeur qui marquait les joues » l.12.

On verra dans la dernière partie Raphaël consultait en désespoir de cause les médecins au sujet du mal qui le ronge. -il peut aussi s'agir du signe de l'épuisement intellectuel explicable par une vie dédiée à l'étude.

L.15 « les traces de nuit passées à la lueur d'une lampe studieuse » ce n'est pas la lampe qui est studieuse mais Raphaël. D'ailleurs cela correspond aux.... »

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