ESCALIER C

« ESCALIER C Réalisation et scénario D'après le roman de .... ..

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Directeur de la photographie ...... .

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Musique ....... .............. ..................

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Production ................................ ... ..

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Distribution ........ ... ..... ..... .

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Durée ............... ..................... .....

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INTE RPRÉTATION Forster Lafont Brun o ..... ..

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Florence ................... ........ .... ........

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C l aude ...... ..... ...........•..................

Le peintre Conrad .............. ...

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M.

Lafont , le père de Forster .

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J oss, le typographe ................... ...... .

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A l ........... .......... ........... ..... ..... ..

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B éa trice ............................ ...........

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Charlotte ... ....... ..... .......................

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Vanessa .................. .

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Virgile .. ................. ...... ..... .

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Mme Bernh ardt ..................... ..

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L'HISTOIRE J.Ch.

TACCHELLA (1985) E lvire MURAIL Jacques ASSUÉRUS (Fujico lor) Ra ymond ALESSANDRINI Films 7/ FR 3 Films A.M.L.F.

102 minu tes Robin RE UCC I Jean-Pierre BA CRI Cat herin e LEPR INCE Jacques BO NNAFFÉ Jacques WEBER Claude RIC H Mic hel AUMONT Hugues QUESTER Cat h erin e FROT Flor enc e G IORG ETT I F iona GÉLIN Gilles GASTON-D REYFUS MONY-REY Dans ce petit immeub le du 14 ' a rrondis se­ ment , à P aris - à l'escalier C pour être exact - t o utes sortes d'histoires s'entrecroisent : celles de loca taires qui sont jeunes pour la plupart , se connaissent bien, vont les uns chez les autres, avec une chaleur et une amitié qui n'ont plus beaucoup cours ...

Il y a ainsi Forster Lafont , jeune critique d'art , fils d'un grand diplomate, qui joue les cyniques; son ami Brun o, un dilet­ tante qui n'a jamais ni t ravai l ni argent , mais va prendre un nouveau départ avec l'arrivée dans l'immeuble d'une jeune femme - Charlotte - et de sa petit e fille Anita ; Claude , homosexuel qui vient d'être plaqué par son am i Al ; J oss, un typographe qui rentre ivre tous les matins ; B éa­ trice et Virgile , jeune couple -t ype qui n'en finit pas de se chamailler, de préférence dans les cou loirs ! Et puis , une dame seu le, beaucoup plus âgée: Mme Bernha rdt.

Dans son environnement professionnel.

rence, la jeune attach ée de presse de la Galerie Messinger , et Conrad, nouveau peintre qu'il a plaisir à découvrir et dont il va faire exp oser les œuv res chez Messinger.

Peu à peu, grâce à Co nrad qui lui tran sme t une certaine philoso­ phie de la vie, et surtout en raison d'un événe­ ment dramatique le suicide de Mme Bern hardt - Forster va c hange r, jeter son faux cynisme aux orties et être un peu plu s l ui-même.

Se senta nt coupable par rapp ort à la mort de Mme Bernhardt dan s la mesure où il ne lu i avait pas tenu compagnie le soir où elle s'est donné la mort, Forster se fixe pour mission - un peu comme un défi - de réaliser le dernier souhait de Mme Bernh ardt : être enterrée à J érusalem (car elle était demi-juive).

Forster, comp lètement tran sformé, ira jusque dans la ville sainte répandre les ce ndr es de Mme Bern ­ h ardt.

JI e n a imera davantage la vie et se rappro­ chera prob ablement de Florence qu'il avait Forster va s'intéresser à deux personne s - Flo- !!! plutôt maltraitée au départ.. .

;1; LA PE TIT E HISTOIRE ~ ;;; ·5 Pour ce SIXleme l o ng mérrage, /'au1 eur de COUS IN, COUS INE er de CROQUE LA VIE a pour la premièr e fois adapré un roman, alors qu'il a vair roujours parlé à /'écran ses propre s scé na­ rios.

Mais Tacchella s'esr dir enth ous iasmé à la l ec tur e du roman d'E lvire Mw 'ail , qui .

ajoute-t - il.

-' lui a pennis de partir dans une direction nouvelle: :. »