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En quoi ces documents mettent en avant les intérêts et les limites des FTN pour la Chine et l’Afrique ?

Publié le 25/06/2022

Extrait du document

« Juliette HUSSET ANALYSE DE DOCUMENTS Les FTN, firmes transnationales, sont des entreprises dont les activités sont implantées dans différents pays.

Ces FTN profitent du cout de la main d’œuvre faible des pays en développement pour s’y implanter.

Le document 1 s’intitulant « la présence ambivalente des FTN originaires de Chine en Afrique » est un extrait de l’Atlas de l’Afrique, un continent émergent, en 2018.

Ce document nous présente le rôle des FTN chinoises sur les espaces productifs africains et leur intégration.

Les IDE sont des Investissements Direct à l’Etranger donnés par les FTN en échange de leur installation dans un pays, ici l’Afrique.

Ces investissements sont localisés et répartis méthodiquement, comme on peut l’observer dans le document 2, une carte légendée.

En quoi ces documents mettent en avant les intérêts et les limites des FTN pour la Chine et l’Afrique ? Tout d’abord, comme le dit le document 1, « le commerce et les investissements chinois en Afrique ont explosé ».

Cela a des conséquences pouvant être avantageuses.

En effet, du côté de l’Etat chinois, on implante des FTN en Afrique, un pays en développement qui attire grâce à des politiques fiscales incitatives.

Les zones franches, des espaces délimités bénéficiant d’exemption de taxes, font partie de ces politiques.

L’Afrique « sévit le sousemploi » et détient une main d’œuvre peu cher.

Ce cout de production moindre et l’abondance de matière première permet un bénéfice élevé pour les entreprises chinoises. Ensuite, a l’instar de Singapour les pays d’Afrique s’enrichissent en accueillant des industries de base qui puisent et exportent des ressources pétrolières « l’extraction minière et pétrolière ».

L’Ethiopie est également un pays qui s’industrialise avec des usines chinoises qui fabrique du textile, une industrie de base à faible valeur ajoutée.

Nous avons l’exemple du site d’Hawassa.

Cette idée est appuyée par le document 2 qui nous montrent que les IDE se concentrent dans les pays « dotés en matière première » et « ayant un grand marché intérieur », l’Angola ou l’Afrique du Sud par exemple. Cependant, ces conséquences sont aussi néfastes.

Certes de nouveaux emplois sont créés mais ils sont occupés majoritairement par les chinois « le recours fréquent a la main d’œuvre chinoise ».

Ceci pose problèmes du fait du chômage important sur le continent.

Même quand les africains sont employés dans ces entreprises ou usines, leurs conditions sont difficiles : la température est trop élevée, et le salaire trop faible.

Ce salaire d’environ 30€/mois est. »

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