ELVIS SHOW

« 1 / 2 Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial ELVIS SHOW Réalisation et scénario ...........................

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Directeur de la photographie ......................

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Costumes de scène ..............................

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Chef d'orchestre ................................

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Conseiller technique .............................

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Production .....................................

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Distribution ....................................

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Durée INTERPRÉTATION El vis Presley ....................................

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Musiciens : .....................................

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Accompagné par ................................

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Témoignages de .................................

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L'HISTOIRE Denis SANDERS (1970) Lucien BALLARD (Metrocolor) Bill BELEW Joe GUERCIO Colonel Tom PARKER Herbert F.

SOKLOW (M.G.M.) C.l.C.

108 minutes Elvis PRESLEY James BURTON (Guitare), Charlie HODGE (Harmonica), Ronnie TUTT (Batterie), Glen D.

HARDIN (Piano), Jerry SCHEFF (Basse), John WILKINSON (Rythmique), Millie KIRKHAM, The Impérial Quartet et The Sweet Inspirations Herb ALPERT, CHARO, Norm CROSBY, Xavier CUGAT, Sammy DAVIS Jr., Cary GRANT, Bob HOPE, Sonny LISTON, J.

PROWSE et D.

ROBERTSON Documentaire sur la préparation, les répéti­ tions, les hésitations, les tâtonnements et la vic­ toire finale du show donné par Elvis Presley à l'" International Hotel» de Las Vegas pour son retour sur la scène, le 10 août 1970, après huit ans d'absence.

Les fans parlent, les profession­ nels applaudissent et le film est un témoignage exemplaire du fabuleux impact qu'il donna à toute la musique populaire américaine.

LA PETITE HISTOIRE de camion? Pourquoi l'impact d'Elvis à Las Vegas, cette plaque tournante de la distraction et du show-business, dépasse-t-il dans sa dimension Lauréat de deux Oscars du documentaire, le réalisateur Denis Sanders a réussi à cerner d'as­ sez près la personnalité «filmique» du King comme il /'explique assez bien lors de sa confé­ rence de presse pour la sortie américaine de son film, le 15 décembre 1970: «Nous avons tenté de saisir les émotions ressenties des deux côtés de la rampe: du côté Elvis et du côté du public.

Nous /'avons suivi durant des mois, nous avons inter­ rogé des centaines de personnes, cadres, étu­ diants, ménagères, fans.

dans des lieux aussi divers que des cuisines, des salons, des églises ou dans la rue.

Nous avons voulu également montrer que ce 32' film n'avait rien de commun avec les trente et un précédents et qu'il allait montrer un artiste tel qu'il est, c'est-à-dire dans et hors de son contexte de phénomène mondial de la musique actuelle populaire».

Pourquoi en effet des mil­ lions de personnes ont investi leur argent et /'ad­ miration de toute une vie dans cet ex-conducteur et son émotion celui de tous les autres chanteurs qui s'y sont produits? Pourquoi la quasi-totalité des chansons de son show, des titres qu'il a pour la plupart créés sont-ils devenus des classiques comme ses films sont devenus aujourd'hui/' objet d'un véritable culte? A toutes ces questions s'ef­ forçait de répondre ce film-témoignage dont l'ex­ ploitation à l'échelle mondiale, permit de constater que n'était point éteinte la flamme de 0 celui qui s'était avéré, plus de 15 ans auparavant, ~ l'unique porte-parole de la musique populaire ~ américaine.

Pour Henry S.

Resnik du très réservé :~ « Saturday Review », la critique fut dithyrambi- ~ que: «Elvis est magnifique, plus puissant que fil jamais pendant qu'il chante 27 chansons.

Il est g> toujours le plus subjuguant des chanteurs rock.

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