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Écrire l'incipit d'un roman engagé dont la cible serait un phénomène de société qui vous révolte.

Publié le 21/12/2021

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« Écrire l'incipit d'un roman engagé dont la cible serait un phénomène de société qui vous révolte . Voici, pour ceux qui n’ont pas d’idées, quelques phénomènes de société qui sont révoltants : Les enfants de plus en plus jeunes qui deviennent de véritables délinquants (mais que font les parents ?…) / les enfants qui sont très gros et qui passent leur journée devant l’ordinateur et la télévision, au lieu de courir derrière un ballon => vont mourir plus vite / le ministre de l’éducation qui a décidé de réduire le nombre d’heures de cours des enfants de primaire, alors qu’ils sont peu capables de lire, d’écrire et de compter à l’entrée en 6 e/ l’utilisation de la voiture alors que cela coûte cher et que cela pollue / la pauvreté dans le pays avec des clochards partout dans les rues / l’impolitesse des gens qui vous marchent sur les pieds, vous bousculent / les gens qui continuent à fumer alors que fumer tue/ les USA et la Chine qui ne veulent faire aucun effort pour limiter le CO2 et la pollution / les hommes et femmes politiques qui parlent de leur vie privée / la Chine qui organise les Jeux Olympiques alors que les droits de l’homme ne sont pas respectés dans ce pays / la tristesse de la vie en banlieue… Exemple d’un début d’incipit > à vous de vous en inspirer ou de le continuer. Marine avait quinze ans.

L’année précédente, l’usine de son père avait fermé et il s’était retrouvé au chômage.

Pendant plusieurs mois, il avait cherché du travail avec zèle mais il avait fallu se rendre à l’évidence : il n’y avait pas de travail dans la région.

Il chercha donc ailleurs.

Il trouva un poste à A., une ville de la banlieue parisienne et toute la famille dut déménager.

Marine ne dit rien, car elle ne voulait pas chagriner davantage son père, mais elle souffrit terriblement en quittant sa campagne, son jardin, sa maison et ses amis.

Sa mère trouva un appartement pas trop cher et le déménagement se fit fin août.

Lorsqu’elle découvrit pour la première fois sa nouvelle « maison », Marine faillit s’effondrer puis fuguer et retrouver sa campagne : il s’agissait d’un HLM de 15 étages, d’une « barre » comme on dit pudiquement, entourée d’autres immeubles tristes et sales.

Son père lui avait dit qu’ils habiteraient dans la « Résidence des jonquilles ».

Le nom lui avait plu, elle s’était déjà imaginée un endroit verdoyant, avec des jonquilles toutes l’année.

En sortant de la voiture, Marine vit surtout des vélos, amputés d’une roue, des poubelles et des crottes de chien. Les seules notes colorées de son nouveau quartier étaient des tags, ces gros dessins agressifs que certaines personnes considèrent comme « artistiques ».

L’intérieur de l’immeuble était sombre et froid.

Cela sentait le tabac froid et on percevait également des relents de cuisine.

L’ascenseur était petit et bringuebalait.

Lorsqu’elle ouvrit la porte de sa nouvelle « maison », Marine eut les larmes aux yeux : le logement était petit, vilain, sans. »

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