Databac

DOUMERGUE, Gaston (1er août 1863-18 juin 1937): Président de la République (1924-1931) Avocat, il devient substitut en Cochinchine puis juge de paix en Algérie.

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : DOUMERGUE, Gaston (1er août 1863-18 juin 1937) Président de la République (1924-1931) Avocat, il devient substitut en Cochinchine puis juge de paix en Algérie. Ce document contient 190 mots soit 0 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie. [audio mp3="https://databac.fr/wp-content/uploads/2020/05/SV_39_SD.mp3"][/audio] Homme politique français. Fils d'un vigneron, il fut avocat à Nîmes, puis magistrat en Indochine et en Algérie. Élu député radical de Nîmes en 1893, ministre des Colonies dans le cabinet Combes (1902/05), puis ministre du Commerce (1906), de l'Instruction publique (cabinet Clemenceau, 1906/09), du Commerce (cabinet Briand, 1909/10), président du Conseil et ministre des Affaires étrangères (1913/14), de nouveau ministre des Colonies (1914/17) ; républicain et patriote, bien vu à droite comme au centre gauche, il fut élu président de la République après la démission de Millerand, le 13 juin 1924. Retiré de la vie politique à la fin de son septennat (1931), il fut rappelé comme un sauveur pour prendre la direction d'un ministère d'union nationale, au lendemain des émeutes du 6 févr. 1934. Décidé à obtenir un renforcement du pouvoir exécutif par une réforme de la Constitution, Doumergue se heurta à l'opposition de ses anciens amis radicaux et, le 8 nov. 1934, fut contraint de démissionner.

« DOUMERGUE, Gaston (1 er août 1863-18 juin 1937) Président de la République (1924-1931) Avocat, il devient substitut en Cochinchine puis juge de paix en Algérie. C’est en décembre 1893 qu’il est élu député radical-socialiste du Gard. Après avoir reçu divers portefeuilles entre 1902 et 1909, élu sénateur en 1910, il est nommé président du Conseil et prend en charge le portefeuille des Affaires étrangères en 1913.

Au printemps suivant, la démission de son ministre des Finances entraîne la sienne.

Néanmoins, plusieurs fois encore il est appelé aux affaires par Viviani ou Briand . L’alliance du centre gauche et de la droite modérée le porte à la magistrature suprême le 13 juin 1924, après la démission d’ Alexandre Millerand .

Après la fin de son mandat, il se retire en Haute-Garonne, laissant à Paul Doumer la présidence de la République.

Au lendemain de la manifestation du 6 février 1934 , il constitue un gouvernement d’union nationale.

Celui-ci ne dure que quelques mois, car il doit affronter à la fois des difficultés économiques et l’opposition de la gauche radicale, qui n’admet pas ses projets de renforcement du pouvoir exécutif.

Sa dernière démission est suivie d’une retraite définitive.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles