Databac

Dissertation alcools: «A la fin tues las de ce monde ancien »

Publié le 31/05/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Dissertation alcools: «A la fin tues las de ce monde ancien ». Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.

« Dissertation sur Alcools : Apollinaire est un poète et écrivain français qui a à travers son œuvre « Alcools », un recueil de poésie, a marqué le début de la modernité poétique tout en liant les traditions des siècles passés.

Néanmoins, il affirme au début du premier poème de son recueil, Zone, qu’ « A la fin tu es las de ce monde ancien » qui exprime la volonté de rupture du poète par sa lassitude du passé.

Apollinaire cherche à se libérer de l'influence de ceux qui l'ont précédé tout en conservant des éléments de la tradition poétique.

On est donc tenu de se demander si cette rupture entre tradition et modernité suggéré par cette citation défini la modernité poétique et l’univers du recueil .

Nous verrons tout d’abord dans un premier temps, nous nous concentrerons sur l’aspect moderne d’Alcools.

Puis dans un second temps, nous aborderons par quel biais ce recueil rend hommage au passé et à la tradition.

Puis dans un second temps, nous aborderons par quel biais ce recueil rend hommage au passé et à la tradition. Le recueil Alcools est synonyme de modernité poétique.

D’une part de par ses thèmes.

Apollinaire évoque l’univers urbain de multiples reprises notamment dans le premier poème du recueil « Zone », avec la Tour Eiffel comme symbole de modernité.

« Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin » Apollinaire fait les louanges de la vie en ville et son quotidien en évoquant la rue, ainsi que tout ce qui s’y lit, on a une énumération de ces éléments « Tu lis les prospectus, les catalogues les affiches qui chantent tout haut" Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux ».

Ces éléments sont issus de la littérature moderne, ce qui une fois de plus insiste sur cette vision du monde moderne que nous exprime Apollinaire dans ce recueil.

Le thème de la ville sert également la modernité poétique à travers le poème « le Voyageur » ou le poète est le témoin de ces villes comme nous le voyons à « Les villes que j’ai vues vivaient comme des folles » qui sont à la fois réelles de par leur aspect moderne qu’il a vu de ses propres yeux puis également grâce à la comparaison « comme des folles » qui souligne le rythme prononcé de ces villes. La modernité de ce recueil et donc de la poésie est aussi accentuée grâce à la structure des poèmes qui marquent la rupture avec la tradition. Le thème de la ville sert également la modernité poétique à travers le poème « le Voyageur » ou le poète est le témoin de ces villes comme nous le voyons à « Les villes que j’ai vues vivaient comme des folles » qui sont à la fois réelles de par leur aspect moderne qu’il a vu de ses propres yeux puis également grâce à la comparaison « comme des folles » qui souligne le rythme prononcé de ces villes.

Premièrement, le refus d’Apollinaire de ponctuation a pour effet de laisser les mots rythmer la lecture des poèmes et accentuer les sonorités ce qui s’oppose aux règles établies de l’univers poétique traditionnel Deuxièmement, Apollinaire a aussi revisité certaines formes poétiques classiques.

Dans ce recueil, la versification y est très variée, brisant une fois de plus les traditions.

L’ hétéromètrie caractérise plusieurs poèmes du recueil tel que « À la santé », le deuxième poème du recueil qui se distingue par ses vers très court.

« Moi-même ».

On y trouve même « La Maison des morts », dans lequel les vers peuvent se limiter à même une syllabe : « Où ».

Apollinaire place son recueil sous le signe de la modernité, néanmoins, il conserve une part de son inspiration dans la tradition poétique et le passé.

Nonobstant, Apollinaire rend hommage à la tradition et au passé.

On retrouve dans le recueil « Alcools » un certain nombre de références à l’univers des mythique en tous genres qu’ils soient antiques ou bien tirés de l’univers gréco-romain.

On distingue plusieurs références divines dans le recueil qui sont évoquées tel que le mythe d’Orphée, de Dionysos ou encore du Phoenix.

Dans le recueil, le mythe d’Orphée est revisité, Kezia SAKHO 1 ère 5. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles