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DIANE DE POITIERS, duchesse de Valentinois (3 septembre 1499-22 septembre 1566)

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : DIANE DE POITIERS, duchesse de Valentinois (3 septembre 1499-22 septembre 1566) Dame Veuve de Louis de Brézé, elle devient la maîtresse du fils de François Ier, le dauphin Henri, qui a près de vingt ans de moins qu'elle. Ce document contient 159 mots soit 0 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.
Fille aînée de Jean de Poitiers, mariée en 1515 à Louis de Brézé, grand sénéchal de Normandie, restée veuve à trente-deux ans, elle devint vers 1536 la maîtresse du duc d'Orléans, fils de François Ier et futur Henri II (qui avait dix-neuf ans de moins qu'elle). Diane fut d'abord la rivale de la duchesse d'Étampes, maîtresse de François Ier, ce qui occasionna plusieurs scènes scandaleuses. Henri devenu roi, Diane fit exiler la duchesse d'Étampes et devint toute-puissante : Catherine de Médicis, épouse d'Henri II, dut elle-même s'effacer devant l'ascendant de la favorite, qui devint duchesse de Valentinois et s'entoura d'une cour brillante. Elle poussa le roi à une répression énergique contre les protestants. C'est pour elle que fut construit, par Philibert Delorme, le beau château d'Anet, où elle se retira après la mort d'Henri II (1559).

« DIANE DE POITIERS, duchesse de Valentinois (3 septembre 1499-22 septembre 1566) Dame Veuve de Louis de Brézé, elle devient la maîtresse du fils de François Ier , le dauphin Henri , qui a près de vingt ans de moins qu’elle.

Elle a sur le Dauphin plus d’influence que Catherine de Médicis , qui l’épouse en 1533.

Elevée au rang de duchesse de Valentinois, Diane partage le pouvoir qui est le sien avec la maîtresse de François I er , la duchesse d’Etampes.

Elle est sans doute décisive dans le choix qui est fait par le roi de ne plus transiger avec les huguenots .

Mais plus encore c’est un nouveau type de femme dont elle impose la reconnaissance.

Cette femme n’est plus l’objet idéal et inaccessible qui exige pour preuve d’amour la bravoure de celui qui lui fait sa cour, mais une femme de cour qui peut se montrer galante et qui veut être capable, au-delà de la séduction, de converser, d’influencer, de gouverner peut-être.. »

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