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DEUXIÈME PARTIE, CHAPITRE 6 - L'Éducation sentimentale, Gustave Flaubert

Publié le 10/06/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : DEUXIÈME PARTIE, CHAPITRE 6 - L'Éducation sentimentale, Gustave Flaubert Ce document contient 1500 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature. En fait celle-ci a dû rester au chevet de son fils Eugène brutalement saisi pendant la nuit d'une très grave affection respiratoire. Un moment l'enfant a bien failli mourir. En apprenant qu'il est enfin sauvé, Mme Arnoux, dans un état de remords expiatoire, interprétant cette crise comme un signe du ciel, « offrit à Dieu, comme un holocauste, le sacrifice de sa première passion, de sa seule faiblesse ». Désabusé, abandonné, Frédéric monte le lendemain chez Rosanette et l'emmène dîner dans un grand restaurant. Le soir, pendant que résonnent les déflagrations de la fusillade du boulevard des Capucines, la lorette devient enfin sa maîtresse « dans le logement préparé pour l'autre... ».

« ■d:t-Ul&li DEUXIÈME PARTIE , CHAPITRE 6 (pag es 321 à 353) De retour à Paris san s vérit able plaisir, Frédéric apprend par une ancienne relation , Mlle Vatnaz, que Ro sanette dés ire vivement le revoir .

Lor s de sa visite, celle-ci se montre en effe t très aguichante mais, souveni r des échecs précédents ou lassitude, le jeune homme résist e à la tentation.

Avec Mme Arnoux , qu' il rencontre par hasard, c'est la même pla­ titude de rapports, limi tés aux souvenirs insign ifia nts.

Pour­ tant, qua nd Oesla uriers lui confi e l'émot ion de Marie à la nouvelle de son préte ndu mariage , Frédéric ne peu t dis simu ­ ler la joie que lui procure cette révé lation.

Autre bonne nouvelle : la libération de Sé néca l, sorti de la prison de Sainte-Pé lagie faute de preuves suffisantes.

Pour fêter l'événement , Dussa rdier réunit« pour un punch » les anciens amis dans sa mansa rde.

Au retour de la pet ite fête, Frédéric se laisse convaincre par Deslauriers de récupérer pour une modi que somme le méd iocre portrait de Rosa ne tte par Pe llerin.

Con train t de retourner à la bout iqu e des Arnoux pour hono­ rer une commande que lui a passée Louise Roqu e, Frédéric tombe à nouveau sur Mar ie à l'improviste .

Cette fois ils ne peuvent se cacher la réalité de leur mutuelle passion.

Ap rès avoir dissipé tot alement les « malen tendu s » relatifs au ma riage avec la petite Roque ou la liaison avec Rosanette, tous deux débutent une douce idylle, encore platonique, qu'abr ite la maison de campagne des Arnoux à Auteuil.

Mais, début 1848, la pass ion de Frédéric se fait plus ardente.

Pour obtenir de Mari e autre chose que des confi­ dences amoureuses, le jeune homme parvient à lui arracher, pour le mard i 22 février, la promesse de ven ir à un rendez ­ vous à Pari s, dans la ch amb re d'un petit hôtel meublé de la rue Tronch et.

Ce jour-là, alors qu' il gue tte sa bien -aimée, il entend dans le lointain le bruit de la première grande mani­ festation des étudiants contre le pou voi r de Louis- Philippe .. »

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