"De la démocratie en Amérique", Tocqueville (commentaire): le dogmatisme

« Intro : "C'est la profonde ignorance qui inspire le ton dogmatique".

Jean de la Bruyère, philosophe et moraliste français du 17e siècle, défend ici l'idée que le dogmatique est quelqu'un qui n'éprouve pas le besoin de penser car il croit savoir tout.

Ce faisant, dans cet extrait de son essai "De la démocratie en Amérique", Tocqueville semble défendre que le dogmatisme serait un principe indispensable à l'homme.

Mais peut-on réellement affirmer que ce principe nous est indispensable malgré le fait que nous ne croyons pas être dans l'ignorance ? Dans un premier temps, nous allons analyser pourquoi nous devons posséder des idées communes tout le long du premier paragraphe.

Ensuite nous allons voir les arguments que Tocqueville nous apporte pour nous convaincre de son idée du premier paragraphe le long du deuxième paragraphe.

Enfin nous allons observer attentivement la conclusion qu'il apporte à son idée dans le dernier paragraphe. I. 1ere phrase: croyances : pas la vérité, pas une sûreté dogmatique : qqun qui affirme qu'il détient la vérité absolue et incontestable, qui vient d'une idéologie +- nombreuses ~ temps : Leur nombre varie selon les époques 2e phrase: naissent : Qqun en est à l'origine de diff.

manières : souvent qqun qui dit être l'intermédiaire entre Dieu et nous / Groupe qui fonde ces idées sans certitude mais en pensantl'avoir changer de forme et d'obj : apres le ; : Tocqueville dit que l'homme ne serait rien sans les pensées qu'on lui enseigne et impose 3e phrase: chaqun, lui-même, lui seul -> pas probable : Tocqueville insiste sur le fait que l'homme peut difficilement penser seul Tocqueville pense qu'il est improbable qu'aucune fois plusieurs hommes se soient réunis sans les mêmes idées, les mêmes "croyances" dogmatiques II. 1ere phrase: Or : cherche à démontrer quelque chose Facile à voir : une évidence selon lui Société = croyances semblables = croyances dogmatiques Si évidence pas respectée, ce n'est pas une société Idées communes, actions communes : Esprit dogmatique --> sans ça, aucune société, que de simples hommes 2e phrase : Défend son idée : il faut des consciences similaires pour créer cette société et la maintenir Esprits rassemblés = hommes rassemblés Aucune société si tout ça n'est pas respecté Sauf si les hommes ont des consciences différentes mais expriment leurs pensées peu à peu afin de transmettre à l'autre à penser pareil III. L'homme à part :.... »