daniel cordier
Publié le 13/02/2022
Extrait du document
«
Daniel Cordier était membre de l’Action française (mouvement nationaliste hostile à la République,
le mouvement était également antisémite).
Daniel Cordier refuse l’armistice : la France qui cède face
à l’Allemagne, et il veut se battre contre les occupants (les allemands) au nom de la France, il veut
tuer du Bosch.
Pour lui Pétain à trahi la France (à l’inverse de ses parents qui pensent que Pétain à
sauver la France, également le ministre des affaires étrangères pense que les résistants ne sont de
bon français et qu’il faut accepter l’armistice).
Pour Cordier Pétain a trahi la France, pour lui Dieu ne
la pas abandonner et son peuple non plus, il a cette idée de partie, de nation et est prêt à se sacrifier
pour elle.
Son pays passe avant lui.
Lorsqu’il entend parler du général de Gaulle, Cordier parle de lui
comme quelqu’un qui est maurrassien, qui était dans l’action française.
Il a du respect envers lui car
le général est un patriote.
C’est lors de ses années et son envoi en mission en France au coté de Jean
Moulin qu’il change d’idées politiques, il quitte le mouvement maurrassien car dans un premier
temps il veut continuer la guerre et dans ce fait il trahi la France alors sous armistice car le
mouvement maurrassien soutien le gouvernement de Vichy.
De plus il se rend compte que
l’antisémitisme n’a pas lieu d’être et l’influence qu’a Rex sur lui le pousse à devenir de plus en plus
républicain.
En effet Jean Moulin (ou Rex qui est son pseudonyme) à eu contrairement à lui une
enfance républicaine.
Suite à l’armistice, certains sont réticent, comme le général de Gaulle qui rejoins Londres et créé la
FL (France Libre).
Suite à l’appel du 18 juin, des français veulent le rejoindre pour pouvoir poursuivre
le combat.
C’est le cas de Cordier qui lui a directement rejoins Londres.
Mais on les résistants ne sont
pas tous armés et prêt à allez au front.
Certains servent d’informateur, d’autres sabotent, cache des
Juifs ou d’autres résistants.
Jean Moulin lui rentre dans la résistance car ses idées sont l’inverse des
idées du gouvernement de Vichy.
La famille Moret est un autre exemple, les parents sont antisémites
et pro Pétain mais veulent résister face à l’occupation allemande.
On remarque aussi que toutes les
classes sociales, toutes les générations y participent.
Les résistants ont un chef, c’est le général de Gaulle, il est stationner à Londres et contrôle les
opérations de loin.
Dans le film Cordier joue le rôle de transmetteur à Rex, il doit coder et décoder les
messages, et de plus il aide Rex (chef de la FFL en France donc sur le terrain qui a pour mission de
rallier les différents mouvements de résistance) car c’est son secrétaire.
Cordier engage aussi d’autres
résistants qui se verront attribués différents rôles.
Ces résistants sont Mado et Germain, Mado aide
Alain (pseudonyme de Daniel Cordier) dans l’écriture des messages, Germain lui est un agent de
liaison qui transmet les messages.
Tout cela n’est pas sans risque car résister est illégal aux yeux de la
France donc les résistants sont en permanence en danger.
Ils risquent donc de se faire balancer, de se
faire trahir.
Ils peuvent se faire arrêter à tout moment par la police française, ou par les allemands,
dans les deux cas ils se font torturer pour obtenir des informations.
Donc, agissant dans l’inégalité, ils
doivent être dans l’anonymat le plus complet : ils ont un nom de code (Alain, Rex, Germain,..), ils
doivent s’exclure socialement.
Par exemples dans les films les différents acteurs de résistances ne se
connaissent que très peu pour ne pas mettre en danger l’autre.
Ils sont sans cesse sur leurs gardes.
Ils
prennent des précautions : les lieux de rencontre sont publics (restaurant, parc,…), ils surveillent leurs
arrières de peur d’être suivi.
Le quotidien des résistants n’est pas facile, ils doivent être en
permanence sur leurs gardes de peur d’être trahis, traqué.
Ils ont dévoué leur vie à la France.
Ils ont.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Daniel Tammet: L'Éternité dans une heure
- Daniel Defoe : Robinson Crusoé (1719): Au bout d'environ dix ou douze jours que j'étais là. Commentaire
- Daniel Defoe
- « Le roman flatte le désir ; il en est la rêverie ». Commentez ce jugement de Daniel Poirion à propos du Tristan de Béroul.
- DANIEL