Databac

corpus

Publié le 06/12/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : corpus. Ce document contient 468 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Echange

Corpus
Ce corpus est composé de trois textes ; Thérèse Raquin (1867) d’Emile Zola (1840-1902) romancier français principalement connu pour Les rougon- Macquart ; le texte La condition humaine (1933) d’André Malraux (1901-1976) un écrivain, homme d'action, homme politique et intellectuel français ; et enfin le texte L’étranger (1942) d’Albert Camus (1913-1960) un écrivain : romancier, dramaturge, essayiste et philosophe français. Il s’agira de montrer ici comment la description de la nature intervient dans ces trois extraits
Dans le texte A, l’on assiste tout d’abord à une description de la nature : « En face, se dressait le grand massif » (l.2) puis par la suite une personnification de celle-ci : « Les rayons pâlissent dans l’air frissonnant, les arbres vieillis jettent leurs feuilles. » (l.6). Le texte C, lui aussi fait une personnification de la nature : « Le ciel s’ouvrait […] pour laisser pleuvoir du feu ». Ces personnifications permettent au lecteur de se sentir plus proche de la nature et donc de l’environnement qui entoure le personnage et ainsi le lecteur s’identifie plus facilement à celui-ci. Le texte C utilise les 4 éléments de la nature, ce qui fait prendre conscience au lecteur de la puissance de la nature : « Le bruit des vagues » (l.6) pour l’eau, « La brûlure du soleil » (l.14) pour le feu, « le ciel s’ouvrait » (l.28) pour l’air, et « le même sable » (l.7) pour la terre. Contrairement au texte B qui ne parle que de lumière en terme de nature, une lumière qui est d’ailleurs artificielle puisqu’elle provient d’un building : « La seule lumière venait du building » (l.6). Cette lumière est en opposé avec les lumières présente dans les textes A et C qui sont des lumières naturelles qui proviennent du soleil, on assiste d’ailleurs au coucher de soleil dans le texte A qui donne un cadre merveilleux au texte : « Ils regardaient les dernières lueurs quitter les hautes branches » (l.11)

Liens utiles